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Lettre mensuelle d'information des adhérents - N° 176 - Septembre 2025
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Votre association locale est heureuse de vous annoncer le lancement d’un nouvel achat groupé de granulés de bois/pellets pour permettre aux habitants chauffés avec cette énergie de se rassembler pour réduire leur facture.
L'objectif est clair : rassembler un maximum de participants pour obtenir les prix les plus compétitifs possibles, avec des pellets/granulés de bois de qualité/certifiés.
Pour plus d'informations suivre ce lien.
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SOMMAIRE
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Toutes les imagettes sont cliquables si vous souhaitez les agrandir.
Liens vers des sites du Mouvement UFC-Que Choisir et des organismes partenaires
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1. Cadmium dans le chocolat : une contamination bien réelle |
Si l’alerte récente des médecins a remis sur le devant de la scène le cadmium, un élément métallique nocif pour la santé, cela fait des années que les autorités sanitaires mettent en garde contre ce polluant.
L’alimentation est, de loin, la principale source d'exposition des consommateurs au cadmium, du moins pour les non-fumeurs : elle y participe à hauteur de 90 % ! Les plus gros contributeurs sont certains légumes verts tels que les épinards, les fruits de mer, les pommes de terre, les produits à base de céréales (barres céréalières, biscuits, céréales du petit-déjeuner, pain, pâtes, riz, etc.), … et le chocolat.
Les tablettes et autres confiseries à base de cacao peuvent en effet afficher des teneurs élevées en cadmium. Une consommation régulière de chocolat peut ainsi contribuer notablement à notre contamination.
Les tests réalisés en 2021 par Que Choisir sur des tablettes de chocolat noir confirment leur contamination généralisée, dans des proportions qui variaient de 1 à 20 : les teneurs mesurées allaient de 0,022 à 0,458 mg de cadmium par kg de chocolat.
Les agences sanitaires française et européenne ont retenu une dose maximale tolérable de 0,35 g par kg de poids corporel et par jour pour les humains. À raison d’une barre de chocolat par jour (soit environ 20 g), ce sont jusqu’à 9 g de cadmium qui sont potentiellement ingurgités quotidiennement. Cette portion apporte 85 % de la dose maximale chez l’enfant, et le tiers chez l’adulte.
Quant à la tablette entière, elle apporterait, au-delà de la crise de foie, entre 3 et 9 fois la dose maximale !
Source : Que Choisir
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2. Voiture : quand la radio n’est plus de série sur les véhicules neufs
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Alors que les prix des voitures neuves explosent, certains constructeurs dépouillent leurs versions d’entrée de gamme afin de tirer les prix vers le bas : Dacia ou encore Citroën ont ainsi décidé de se passer de radio sur certains modèles.
À 16 900 € la citadine, impossible de proposer une radio de série ? La Dacia Spring "Essential", comme les autres Dacia qui proposent cette finition d’entrée de gamme, fait désormais fi de l’autoradio.
« Pour une offre essentielle, il faut faire la chasse aux éventuels doublons et le smartphone fait office de navigateur, radio, etc., avec une optimisation de son intégration dans l’environnement du véhicule », indique-t-on chez Dacia.
La marque roumaine n’est pas la seule à procéder de la sorte. Sur la récente Citroën C3, décision a aussi été prise de se passer de la radio : « Ce choix résulte d’études clients et d’observations de leurs usages. Les smartphones, indispensables à notre quotidien, se sont démocratisés et intègrent de nombreuses fonctionnalités permettant de se divertir, de se déplacer ou de s’informer », explique la marque aux chevrons.
Il s’agit donc de ne plus écouter directement ses stations préférées sur les modèles d’entrée de gamme ; la radio fait en revanche toujours partie des équipements proposés de série sur les finitions supérieures.
« C’est une question de justice sociale que de ne pas priver les automobilistes de l’accès au service universel, gratuit et anonyme qu’est la radio hertzienne », fait remarquer l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle (Arcom).
En attendant d’y apporter une réponse au niveau européen, ce souci de disparition progressive de l’autoradio pourrait être prochainement traité au niveau français. Dans la très controversée proposition de loi de réforme de l’audiovisuel public, le sénateur auteur du texte a ainsi glissé un article consacré à la radio : « Tous les véhicules neufs devront également permettre de recevoir la radio numérique terrestre », est-il simplement proposé.
Source : Que Choisir
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3. Dioxyde de titane : interdit dans les aliments… mais retrouvé dans le lait |
Le dioxyde de titane (TiO2) est potentiellement dangereux pour la santé, plus encore quand il est utilisé sous forme de nanoparticule. Et on le sait depuis longtemps : ce composé a été classé « cancérigène possible par inhalation » pour l’humain par le Centre international de recherche sur le cancer dès 2006.
Une étude de l’Institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (Inrae) de 2016 laisse également craindre une cancérogénicité par ingestion. En conséquence, les denrées alimentaires contenant du TiO2 ne doivent plus être mises sur le marché français depuis 2020 ; l’Union européenne a suivi en 2022.
Mais aujourd’hui encore, il reste « massivement employé dans une multitude de produits du quotidien (cosmétiques, crèmes solaires, dentifrices, médicaments, papiers, peintures, plastiques, etc.) », rappelle l’Inrae.
Le lait, boisson indispensable aux nouveau-nés, c’est dire si cet aliment est symbolique, s’avère un excellent marqueur de l’exposition maternelle aux polluants ; dont celle au TiO2. Une équipe de scientifiques français a mesuré la quantité de ce composé dans différents laits : 100 % des laits d’ânesse, de chèvre ou de vache étaient contaminés par des nanoparticules de TiO2, qu’ils soient frais ou en poudre, bio ou conventionnels.
Parmi les laits infantiles (du 1er au 3e âge, bio ou conventionnels), 83 % en contenaient également. Enfin, des particules de TiO2 ont été détectées dans le lait de l’ensemble des 10 femmes testées (vivant à Paris ou en proche banlieue).
Source : Que Choisir
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4. Je n’ai pas de compteur Linky, je vais payer plus cher à compter du 1er août 2025 ? |
Une impossibilité technique vous empêche de faire installer un compteur Linky dans votre foyer ; pouvez-vous alors être contraint de payer des frais supplémentaires ? Non : vous ne supporterez pas de surcoût sur votre facture si une contrainte technique avérée empêche l’installation du compteur électronique communicant.
Le « cas d’impossibilité technique indépendante du client » doit être identifié par Enedis, le gestionnaire du réseau public d’électricité. Il peut notamment s’agir d’un compteur situé dans un endroit dangereux ou inaccessible, d’une contrainte architecturale (bâtiment classé, par exemple).
Pour échapper aux pénalités, demandez une évaluation technique de votre installation par Enedis et conservez le document attestant de cette impossibilité. Si aucune impossibilité technique n’est avérée, vous devrez payer 6,48 € tous les 2 mois, plus 4,14 € tous les 2 mois pour ceux qui ne déclarent pas leur index ou ne prennent pas de rendez-vous de relève.
Ce surcoût vise à couvrir les frais dus au maintien des anciens compteurs (contrôle, relève à pied, etc.). Bon à savoir : la Cour de cassation a récemment donné raison à Enedis face à des usagers récalcitrants.
Source : Le Particulier
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5. Suspension de l’aide MaPrimeRénov |
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Voilà plusieurs années que l’UFC-Que Choisir alerte les pouvoirs publics sur les conséquences désastreuses de l’intensification des vagues de chaleur et de l’inadaptation des logements. Pour autant, la problématique de surchauffe des logements en été ne figure toujours pas dans la définition légale de la précarité énergétique, ni dans celle de la rénovation globale et performante.
Après la décision incohérente du Gouvernement de suspendre, cet été, l’aide MaPrimeRénov’ et en l'absence de mesures concrètes pour amoindrir durablement les effets, les ménages n’ont pas d’autre option que d’appliquer des solutions d’urgence.
La plus courante consiste à s’équiper de climatiseurs. A températures égales, les effets sur la santé ne seront pas les mêmes pour les personnes vivant dans les grandes villes et sans surprise, ces risques se cumulent et sont amplifiés dans les milieux défavorisés…
Face à ces constats accablants, il est indispensable d’intégrer dans le Diagnostic de performance énergétique (DPE) la notion de confort thermique en été. Sur le court terme, et en l’absence de mesure concrète et pérenne pour éradiquer ce phénomène, il est nécessaire, pour protéger les locataires.
Aux côtés des associations de lutte contre le mal logement, l’UFC-Que Choisir continuera de faire pression sur les pouvoirs publics pour déployer des mesures concrètes afin d’éradiquer les bouilloires thermiques et de garantir aux ménages des logements viables en période de forte chaleur.
Source : Que Choisir
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6. Prix barrés sur les sites d’e-commerce : près de 9 sur 10 sont des fausses promotions |
Deux ans après sa première alerte, l’UFC-Que Choisir, s’indigne de la persistance des pratiques inadmissibles de nombreux commerçants en ligne qui, à travers les prix dits "de comparaison", abusent de la confiance des consommateurs en multipliant les fausses promotions.
Face à l’inaction des autorités l’association presse la Commission européenne de mettre un coup d’arrêt à ces stratégies marketing en interdisant toute autre forme de prix de référence que celle prévue par la Directive européenne "Modernisation" / "Omnibus" (réduction de prix).
85 % des prix barrés induisent les consommateurs en erreur.
La directive européenne en vigueur depuis trois ans, impose que toute réduction de prix affichée se base sur le prix le plus bas pratiqué par le vendeur au cours des 30 jours précédant la promotion. L’UFC-Que Choisir a analysé près de 1 000 annonces comportant un prix barré, issues de six sites d’e-commerce. Il en ressort que 15 % des prix barrés sont de réelles réductions et dans 85 % des cas, les vendeurs ont recours à des prix dits "de comparaison", intitulés "À l’origine", "Ancien prix", "Prix moyen sur la marketplace", "Prix de vente conseillé" ou encore "Prix renseigné par le vendeur".
Plus la remise semble spectaculaire, plus son calcul est manipulé. L’analyse de l’UFC-Que Choisir démontre que la réduction moyenne est de 11 %, alors qu’elle atteint le niveau improbable de 31 % pour les prix "de comparaison", mettant ainsi en lumière que ces derniers ne sont qu’un artifice pour pousser les consommateurs à l’achat en leur faisant miroiter de belles affaires.
Source : Que Choisir
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7. Baisse du taux du livret A : faut-il s’en soucier ? |
Depuis le 1er août, le taux d’intérêt du livret A est passé sous la barre des 2 % pour se fixer à 1,7 %. Faut-il pour autant délaisser cette épargne pour d’autres en apparence mieux rémunérées ? Pas sûr.
Il est impossible de savoir si l’on gagne ou pas de l’argent avec un placement tant qu’on ne jette pas un coup d’œil à l’inflation. Seule la comparaison entre le taux net fiscal d’un placement et le taux d’inflation à la même période permet de savoir si l’on sécurise son épargne… c’est-à-dire si l’on ne perd pas, à long terme, en pouvoir d’achat.
Or l’inflation s’est assagie, pour atteindre 1 % aujourd’hui. Résultat : le gain net du livret A tournera autour de 0,7 % au mois d’août, mais c’est suffisant pour ne pas s’appauvrir. L’assurance vie semble donc facialement plus intéressante que le livret A. Mais c’est sans compter la fiscalité (impôt + prélèvements sociaux). Alors que le livret A est défiscalisé à 100 %, l’assurance vie est assujettie à un taux global de 30 % pendant les 8 premières années de détention ; net d’impôt, le taux de l’assurance vie repasse ainsi en moyenne autour de 1,5 %. Pas mieux que le livret A aujourd’hui !
Des qualités toujours imbattables à court terme
Il faut en outre préciser que le livret A constitue un produit 100 % liquide. En cas d’imprévu, on peut puiser à tout moment dans son livret. L’assurance vie reste moins souple. Il faut patienter avant de recevoir les fonds. Le livret A reste donc une bonne épargne de précaution. Son plafond est de 22 950 € par livret. Pour une épargne plus conséquente, il faudra se tourner vers d’autres types de placements.
Source : Que Choisir
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8. Transport : l’étonnant succès des voyages en autocar
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Des gares lugubres, des retards à la pelle, des trajets longs, peu confortables ... Sur le papier, le voyage en autocar a tout pour déplaire. Et pourtant, il connaît un succès inédit. BlaBlaCar, FlixBus et quelques autres compagnies régionales ont transporté près de 18 millions de personnes l’année dernière. Principale motivation des passagers : une offre tarifaire sans équivalent.
« Le transport par autocar figure parmi les plus économiques (6 € par passager pour 100 km en 2024) », note l’Autorité de régulation des transports (ART). Ces tarifs bas sont obtenus grâce, notamment, à un recours massif à la sous-traitance et à une qualité de service pas toujours au rendez-vous, qui d’ailleurs ne s’améliore pas : « Le taux de retard se dégrade nettement en 2024. Près d’un quart des autocars ayant effectivement circulé en 2024 arrivent à leur terminus avec un retard de plus de 15 min, en hausse de 2,5 points », explique l’ART.
Rappelons une particularité de ce type de transport : les retards à l’arrivée n’ouvrent aucun droit à indemnisation. Dans le secteur des autocars, les passagers ne peuvent être indemnisés qu’en cas de retard important… au départ du voyage.
Source : Que Choisir
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9. Fin du démarchage téléphonique : encore quelques mois à patienter |
Après des décennies de combat mené par l’UFC-Que Choisir, le démarchage abusif vit ses dernières heures. La loi de lutte contre les fraudes aux aides publiques, dans laquelle figure l’interdiction du démarchage téléphonique sans consentement, a été promulguée le 30 juin dernier. Il faut désormais attendre la publication d’un arrêté d’application et l’entrée en vigueur des principales dispositions, le 11 août 2026, pour en voir réellement les premiers effets. D’ici là, vigilance pendant la période de transition.
Il faut en effet attendre la fin de la concession de Bloctel, soit le 11 août 2026. À cette date la liste d’opposition téléphonique lancée en 2016 sera définitivement enterrée et les entreprises ne pourront plus démarcher les particuliers sans avoir préalablement obtenu leur accord.
Ce consentement pourra, par exemple, avoir été récolté lors d’un achat, au cours d’une visite en magasin ou via un formulaire, et devra dans tous les cas être « libre, spécifique, éclairé, univoque et révocable ». En cas de contestation, il reviendra au professionnel de prouver qu’il a bien obtenu le consentement.
Un professionnel ne pourra démarcher sans consentement que pour les personnes déjà en contrat avec lui, et seulement pour leur proposer un bien ou un service en rapport avec l’objet du contrat (pour lui présenter une meilleure offre, par exemple).
Tous les secteurs d’activité sans exception seront concernés par ces futures obligations. Un décret à venir devra toutefois en préciser les modalités d’application.
À noter qu’une disposition de la loi est d’ores et déjà applicable depuis le 1er juillet : il s’agit de l’interdiction du démarchage par mail, SMS ou téléphone (ou via les réseaux sociaux) dans les secteurs de la rénovation énergétique et de l’adaptation des logements au handicap et à la vieillesse.
Source : Que Choisir
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10. Péage à flux libre : attention aux arnaques par SMS ou e-mail
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Que vous empruntiez ou non les autoroutes, soyez prudents si vous recevez un message vous demandant de régler un péage à flux libre. Les escrocs profitent de ce système encore mal connu des Français pour arnaquer les automobilistes.
Si vous avez reçu un SMS ou un e-mail vous indiquant que vous êtes redevable de frais de péage, méfiance : il y a de très fortes chances pour qu’il s’agisse d’une tentative de phishing (ou hameçonnage). Le procédé est le même que pour les fausses promos sur les réseaux sociaux, les jeux-concours bidon ou les pseudo-livraisons : on vous annonce que votre véhicule a été repéré sur une portion d’autoroute à flux libre, et qu’à ce titre vous êtes redevable de frais de péage.
Dans le message figure un lien qui renvoie vers un site miroir ressemblant à celui de la société d’autoroute sur lequel on vous invite à régulariser votre situation. Sauf que toutes les informations que vous y laisserez, y compris vos données bancaires, seront captées par des escrocs et revendues sur des réseaux parallèles pour générer d’autres arnaques ou effectuer de nouveaux prélèvements sur votre compte bancaire.
Les escrocs envoient ces messages en masse en comptant sur le fait qu’une partie des destinataires, même infime, tombe dans le panneau. Les opportunités pour les escrocs sont d’autant plus grandes que le système des autoroutes à flux libre est encore mal connu des utilisateurs et qu’il se déploie progressivement.
Sur ces autoroutes, les barrières de péage ont disparu, mais les automobilistes qui les empruntent restent tenus de régler les frais, soit sur des bornes disposées à chaque sortie soit, dans les jours qui suivent, sur le site internet du concessionnaire. Il suffit pour cela d’indiquer la plaque d’immatriculation de son véhicule, qui aura été repérée par des radars disposés le long du parcours. Les concessionnaires n’envoient jamais de message, excepté si vous vous êtes inscrit sur le site et que vous avez expressément demandé à être alerté.
Si vous recevez ce genre de message, transférez-le au 33700, puis supprimez-le. En cas de doute, rendez-vous sur le vrai site du concessionnaire d’autoroute (Aliae.com pour l’A79 ou Sanef.com pour les autres), sans passer par le lien contenu dans le mail. Et si, par malheur, vous avez déjà payé, contactez rapidement votre banque.
Source : Que Choisir
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11. Carte gratuite : trouvez les commerces en circuit court autour de chez vous
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Où trouver une alternative aux supermarchés à côté de chez vous ? Avec la carte interactive des circuits courts de l’UFC-Que Choisir, réalisée en partenariat avec l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (Inrae) (1), visualisez les informations des magasins proches de votre domicile : le site internet, les horaires d’ouverture.
Les critères de sélection pour ces lieux de vente :
➢ magasins physiques (pas de vente à distance) ;
➢ offre suffisamment variée (des fruits et des légumes, ainsi qu’au moins deux autres catégories de produits) ;
➢ 70 % de fruits et légumes issus de circuits courts ;
➢ ouverture au moins 2 jours par semaine.
Lien d’accès à la carte
Cette carte liste les points de vente correspondant à ces critères. Y figurent :
➢ des casiers fermiers ;
➢ des épiceries participatives ;
➢ des épiceries sociales et solidaires ;
➢ des magasins bio ;
➢ des magasins de coopérative agricole ;
➢ des magasins de producteurs et magasins de la ferme ;
➢ des magasins de produits locaux ;
➢ des magasins de vente en vrac.
(1) Avec la collaboration du Réseau mixte technologique alimentation locale (RMT)
Source : Que Choisir
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Liens vers des sites du Mouvement UFC-Que Choisir et des organismes partenaires |
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UFC-Que
Choisir Lyon Métropole & Rhône
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Siège : 1 rue Sébastien Gryphe, 69007 Lyon
Antenne de Villefranche : 338 rue des Remparts, 69400 Villefranche-sur-Saône
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Président et responsable de publication : Michel Fregonara
Responsable de la communicaion : Jean-Louis Vaudran
Recherche et documentation : Michel Boutard
Responsable de rédaction et conception technique : Michel Fregonara
Ont participé à cette édition : Michel Boutard, Michel Fregonara et Jean-Louis Vaudran.
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