Lettre mensuelle d'information des adhérents - N° 164 - Juillet 2024

SOMMAIRE
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1. Attention aux propositions d’interventions délictueuses sur les compteur Linky

Certains petits malins promettent, moyennant finances, d’intervenir sur le compteur LINKY, ou à côté, et de provoquer son ralentissement, vous laissant espérer une réduction de 30 à 50 % de votre consommation globale.

Il convient d’être très prudent, car cette manœuvre, purement illégale, consiste essentiellement à dériver le compteur en tout ou partie : c’est donc du vol, et le client, comme l’intervenant, peut être amené à être condamné à des amendes sévères.

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2. Avis d’imposition : les 4 chiffres à vérifier

Même si vous avez mis de côté votre avis d’imposition pour pouvoir passer des vacances tranquilles, il sera nécessaire, à la rentrée, de vous pencher avec intérêt sur les 4 chiffres "clés".

1) L’impôt net de votre revenu fiscal
Vous trouverez en page 2 de votre avis d’imposition, l’ensemble des informations retenues pour le calculer, à savoir votre quotient familial, vos différents revenus imposables, les charges déductibles de votre revenu global ainsi que vos crédits d’impôt et réductions d’impôt.

2) La somme à payer ou à rembourser
La principale information à retenir se situe page 1 de votre avis. Il s’agit de la somme qu’il vous restera à payer (entre septembre et décembre) ou de la somme qui vous sera remboursée (fin juillet ou début août) compte tenu des impôts déjà prélevés à la source sur vos revenus de 2023.

3) Votre revenu fiscal de référence
Ce revenu reconstitué par le fisc intégrera vos revenus imposables de 2023, mais aussi certains revenus exonérés, certains abattements et certaines charges déductibles. Il sera inscrit pages 1 et 3 de votre avis d’imposition.

4) Votre plafond d’épargne retraite
Il s’agit du montant des versements faits sur votre plan d’épargne retraite d’ici le 31 décembre 2024 que vous pourrez défiscaliser en 2025. Au minimum, vous pourrez déduire 16 456 € de vos revenus de 2024 si vous n’avez jamais épargné pour la retraite. 

Source : Que Choisir

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3. Rappel des airbags Takata : de nombreux constructeurs auto concernés

Le groupe Stellantis a dû procéder au rappel de certains de ses modèles, la Citroën C3 et la DS3, en raison de défaillances sur les airbags du fabricant japonais Takata.

Les rappels alertent sur la détérioration du gaz propulseur du coussin gonflable dans le temps, due à une exposition à des températures élevées ou à une forte humidité. Le gaz défectueux peut alors mal réagir lors du déclenchement de l’airbag en cas d’accident et déployer le coussin avec une trop grande force, entraînant avec lui des particules métalliques alors projetées vers les occupants.

La lettre intime aux propriétaires de « cesser immédiatement de conduire le véhicule » et de prendre rendez-vous pour le changement des airbags chez un agent de la marque. Mais ceux-ci sont saturés et les délais d’intervention sont très longs.

Une quinzaine d’autres constructeurs ont monté ces airbags Takata sur certains de leurs modèles, et commencent à envoyer des courriers de rappel.

➢ Voir la liste détaillée des constructeurs et modèles concernés.

➢ Si vous avez acheté votre véhicule d’occasion en dehors du réseau de la marque, vous risquez de ne pas recevoir le courrier de rappel même si votre voiture fait partie des séries concernées. C’est pourquoi nombre de constructeurs proposent sur leur site internet une page d’identification avec le numéro de série VIN du véhicule (case E de la carte grise).

Source : Que Choisir

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4. Sécurité routière : nouveaux équipements obligatoires sur les voitures neuves

A compter du 7 juillet prochain, la Commission européenne a décidé de frapper fort en matière de sécurité routière. Ces équipements devront être "de série". Jugez du peu :
➢ alerte et correction au franchissement de voie ;
➢ alerte de somnolence ;
➢ alerte de vitesse excessive (dite ISA) ;
➢ enregistreur de données d’accident ;
➢ freinage automatique en cas d’obstacle ;
➢ signal de coups de freins brusques ;
➢ surveillance de la pression des pneumatiques.

Outre cette batterie d’électronique supplémentaire, la structure même des véhicules va évoluer, les crash-tests vont devenir plus exigeants. Cela aura une incidence sur le poids des véhicules, donc sur leur consommation, mais aussi sur les conséquences d’un impact avec un véhicule plus léger. L’ACEA (Association des constructeurs européens d’automobiles) fait remarquer que le renforcement structurel des SUV actuels, déjà bien pourvus en équipement électronique, ne fera qu’augmenter le danger des occupants d’une petite citadine.

Ces nouvelles dispositions auront, inévitablement, des conséquences sur le prix mais aussi sur l’existence même de certains modèles qui ne survivront pas comme la Suzuki Ignis, la Twingo, la Zoé et bien d’autres. La mise à jour des modèles neufs existants augmentera leur prix de vente de 474 € à 617 € selon le modèle !

Mais la grande inquiétude concerne l’ISA (alerte de vitesse excessive). L’ACEA déplore un système qui « déclenche trop de fausses alertes en raison d’une lecture incorrecte de la signalisation ou de la prise en compte d’informations périmées », tandis que l’European Transport Safety Council, organisation indépendante à but non lucratif œuvrant pour la sécurité routière au sein de l’UE, pointe « des avertissements acoustiques en cascade incompatibles » avec le but recherché.

Affaire à suivre…

Source : Que Choisir

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5. Gaz : la facture augmentera de 11,7 % en juillet

La Commission de régulation de l'énergie (CRE) a annoncé une hausse du prix du gaz, essentiellement due à l'augmentation des coûts de distribution. Mais aussi en raison de la hausse du prix du gaz sur les marchés. Les prix vont grimper pour la grande majorité des contrats. À commencer par l'offre "Passerelle" à laquelle plus de 2 millions de clients ont adhéré l'an passé.

Les "tarifs réglementés de vente de gaz" (TRGV) ont été supprimés le 30 juin 2023. À la place, la CRE a instauré le "prix repère de vente de gaz naturel" PRGV, voulu comme une boussole permettant aux consommateurs de comparer les offres des différents acteurs du marché. Elle le fixe tous les mois, en détaillant un prix d’abonnement et un prix du kilowattheure. Ces estimations reflètent alors les coûts moyens supportés par les fournisseurs à la fois pour acheter le gaz sur les marchés de gros mais aussi les coûts de stockage et d’acheminement jusqu’à leurs clients. Sans oublier leurs marges.

La CRE cite deux principales raisons pour expliquer cette hausse du PRGV de juillet :
➢ l’application au 1er juillet du nouveau tarif des réseaux de distribution de gaz naturel (ATRD) que paient tous les fournisseurs pour l’utilisation qu’ils font des infrastructures gazières (transport, stockage, distribution) ;
➢ le prix du gaz naturel augmente sur les marchés de gros ces dernières semaines.

Le PRGV est publié à titre indicatif, les fournisseurs sont libres de le suivre ou non et de fixer leur niveau de marge. D’où l’importance de comparer les différentes offres via les comparateurs indépendants comme celui de Que Choisir ou du Médiateur national de l’énergie.

La majorité des offres sont concernées :
➢ toutes celles indexées sur le prix repère mensuel ;
➢ les offres à prix fixe seront épargnées, sauf si le fournisseur a prévu une exception pour les coûts d'acheminement (c'est le cas dans de nombreux contrats).

Sources : Le Particulier & Que Choisir

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6. Environnement : autant éviter les produits avec du benzotriazole

Les antigels, les enduits pour revêtements, les graisses et les lubrifiants, les produits de lavage et de nettoyage, … Le benzotriazole, un agent anticorrosion, peut entrer dans la composition de nombreux produits de notre quotidien. On le retrouve même dans certaines références de produits lave-vaisselle ; il sert, dans ce cas précis, à protéger le métal des couverts.

L’Agence européenne des produits chimiques met en garde contre le benzotriazole qu’elle classe parmi les substances toxiques sur le long terme pour l’environnement aquatique et qui peuvent, en cas de mauvaises manipulations du produit, causer de sérieuses irritations des yeux et de la peau.

De son côté, le très sérieux Institut fédéral allemand pour la sécurité et la santé au travail préconise de classer cette substance comme perturbateur endocrinien pour l’environnement, susceptible ainsi d’impacter la faune (changement de sexe dans certaines populations de poissons, troubles du développement, etc.).

L’UFC-Que Choisir conseille donc d’éviter le plus possible les produits qui contiennent du benzotriazole.

Source : Que Choisir

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7. Pommeau de douche : des centaines de litres d’eau à économiser

Avant toute chose vérifiez ou faites vérifier par un plombier la pression de votre arrivée d’eau. Si elle est supérieure à 3 bars, il conviendrait de faire installer un réducteur de débit juste après votre compteur.

Prendre sa douche quotidienne est un acte qui peut sembler banal mais une attention profonde peut vous faire économiser une énorme quantité d’eau. Voici un petit "truc" qui va vous permettre de savoir si votre pommeau est adapté à la situation !

Faites couler l’eau de la douche dans un seau pendant 10 secondes. Mesurez le volume d’eau récupéré à l’aide d’un récipient gradué et multipliez par 6 la valeur obtenue. Le résultat de cette simple opération va vous donner le débit en litres par minute. Si le résultat est supérieur à 12, il est grand temps d’agir !

Mais attention, ne vous ruez pas sur le premier pommeau de douche venu. Le test de Que Choisir, publié en mai dernier, laisse apparaître de grandes disparités de débit entre des produits à l’apparence similaire ; ni la marque ni le prix ne constituent de repaires fiables, la preuve en est, le 2e du classement est vendu 4 €.

Notons tout de même que les pommeaux les plus sobres sont équipés de réducteurs de débit qui freinent la pression de l’eau si elle est trop forte. Un bouton d’arrêt d’eau sera bien utile à ceux qui n’ont qu’un mélangeur, pour retrouver la bonne température aussitôt après s’être savonné, sans avoir à refaire les réglages.

Les plus décidés se savonneront avant d’entrer sous la douche et n’utiliseront l’eau que pour se rincer. Un vrai geste écologiste !

Source : Que Choisir

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8. Diabète : l’activité physique et la diététique en 1er traitement

Petite révolution dans la prise en charge du diabète de type 2, qui représente plus de 90 % des cas de diabète en France : les nouvelles recommandations de prise en charge, publiées par la Haute Autorité de santé (HAS), mettent au premier plan les modifications du mode de vie, c’est-à-dire la lutte contre la sédentarité, la pratique régulière d’une activité physique et les habitudes alimentaires.

Concrètement, après un diagnostic de diabète de type 2, les médecins sont désormais censés prescrire d’abord des mesures hygiénico-diététiques. Il était temps que la HAS actualise sa position, qui datait de 2013 : leur efficacité, et en particulier celle de l’activité, est prouvée depuis un moment. Elles peuvent même être suffisantes, en début de maladie, pour renverser la tendance ou, du moins, freiner son évolution.

Si la mise en place d’un régime alimentaire adapté vise le rééquilibrage de la glycémie (taux de sucre dans le sang), l’activité physique a, elle, pour effet d’améliorer la sensibilité à l’insuline, de stabiliser la maladie et d’empêcher ses complications cardiovasculaires.

Ce n’est que si le résultat n’est pas suffisant qu’un traitement médicamenteux pourra, après quelques mois, être initié. Il viendra en complément, et non en remplacement : l’hygiène de vie devra être maintenue.

Un effort reste toutefois encore à faire : une enquête de Santé publique France sur les habitudes en 2021 montre en effet que les objectifs d’activité physique et de non-sédentarité ne sont pas atteints en France. 60 % des femmes adultes et 73 % des hommes seulement sont dans les clous.

Rappelons que les recommandations sont de pratiquer une activité physique d’intensité modérée pendant 20 à 45 minutes par jour. La sédentarité, elle, se caractérise par la consultation d’écrans pendant 3 h hors temps de travail ou par une position assise pendant plus de 7 h par jour. En 2021, plus d’un adulte sur 5 déclare rester assis plus de 7 h, et 40 % passent plus de 3 h sur écran, indépendamment des nécessités professionnelles.

Source : Que Choisir

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9. Crèmes balsamiques : encore trop d’additifs

Surfant sur le succès de la gastronomie italienne, les fabricants de vinaigre balsamique de Modène IGP (Indication géographique protégée) ont développé il y a une vingtaine d’années un condiment, la "crème" (ou "douceur") de balsamique. Sucrée, d’aspect crémeux et sirupeux, c’est la version industrielle d’une réduction culinaire de vinaigre balsamique. Mais alors que ce dernier est soumis à un cahier des charges IGP l’astreignant à un niveau de qualité supérieure, la crème balsamique n’a pas de contrainte particulière à respecter. Elle est fabriquée à base de moût (cuit ou concentré), de vinaigre balsamique et de vinaigre de vin, auxquels les industriels ajoutent divers additifs et ingrédients.

Parmi ceux-ci, figure le colorant caramel E150d qui peut contenir des composés néoformés suspectés d’être cancérogènes. Il proviendrait du vinaigre utilisé pour fabriquer la crème. C’est regrettable, d’autant que son rôle est purement cosmétique : il est destiné à homogénéiser la couleur brune intense du vinaigre balsamique.

La plupart des industriels s’en donnent aussi à cœur joie sur les autres additifs, sans même parler d’ingrédients comme le sirop de glucose ou le jus de raisin concentré (qui ne sont pas des additifs).

Ces ajouts font des crèmes balsamiques des aliments ultratransformés moins qualitatifs que des vinaigres balsamiques IGP ou AOP (Appellation d’origine contrôlée) du moins ceux sans colorant caramel.

Pourtant, leur prix est nettement plus élevé, ramené au litre.

Source : Que Choisir

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10. "SMS" comme "Se Méfier des Soi-disant livreurs"

Un pseudo livreur vous envoie un SMS vous faisant part de son impossibilité de livrer un colis (« ne rentre pas dans la boîte ») et vous invitant à fixer un nouveau rendez-vous via un lien ? C’est un phishing (hameçonnage), point de départ d’une arnaque en pleine expansion.

Le site gouvernemental Cybermalveillance a observé un pic de consultations de son site sur ce sujet, jusqu’à 2 000 début mai, puis 1 000 ensuite, à comparer aux 300 à 500 habituelles.

Une arnaque en plusieurs temps, page après page au gré des clics proposés par le lien activé.

Ce lien mène à un faux site reprenant l’identité visuelle de Mondial Relay par exemple. Après demande de votre adresse mail et de votre numéro de téléphone, le choix d’un nouveau créneau de livraison, votre identité et votre adresse vous sont demandées ; au tour ensuite de vos coordonnées de carte bancaire pour régler les frais de réexpédition. Un ensemble de données qui permettront dans un second temps d’engager par exemple une escroquerie au faux conseiller bancaire, une extorsion de fonds et le contrôle de votre compte.

Pour peu qu’un colis soit attendu, le client peut se faire berner d’autant que les visuels et textes sont de plus en plus soignés. Mais la multitude d’informations personnelles demandées dont certaines sensibles voire confidentielles doivent alerter. Des anomalies peuvent par ailleurs être détectées : Mondial Relay ne livre jamais à domicile, leurs numéros de colis comportent 8 chiffres et non 6, le numéro d’appel commence par 07 ou 06 et non d’un numéro spécial ; un appel à vigilance apparaît d’ailleurs sur le site officiel sur ce type de pratique.

La parade à la réception d'un tel message ? Le supprimer immédiatement et contactez votre transporteur pour vérification ; n’hésitez pas à signaler la fraude sur le site Cybermalveillance.gouv.fr. Si vous vous êtes fait piéger, contactez votre banque pour faire opposition sur votre carte bancaire et demandez une surveillance sur tout mouvement suspect sur le compte ; un dépôt de plainte est vivement conseillé notamment en cas de litige potentiel à traiter ultérieurement avec votre banque.

Source : Que Choisir

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11. Application Cartes IGN

L’IGN*, un service public qui offre une application 100% gratuite pour une autre approche dans l’observation de notre territoire que celle des géants du Web. Adieu Géoportail et vive Cartes IGN.

Ici, présentation non biaisée par des considérations commerciales, pas de données personnelles transmises à des tiers, mais divers outils originaux.

Trois thématiques

➢ Explorer le territoire
L’onglet "Explorer" offre, dans une zone choisie, de nombreux fonds de carte (plan, photo aérienne, carte IGN, carte Topo 25…) qui peuvent être enrichis à la demande d’autres données d’IGN ou d’organismes partenaires (parcelles cadastrales, forêts, cours d’eau, parcs et jardins, villages étapes, zones Natura 2000…) ; d’autres informations telles que le type de plantes cultivées sur une parcelle ou les essences d’arbres d’un bois peuvent être données, sans oublier celles sur les sites remarquables environnants. La fonction "Où suis-je ?" permet de se repérer sur la carte et de partager sa position.

➢ Trouver son chemin
L’onglet "Se déplacer" permet de trouver le chemin le plus court ou le plus rapide, que ce soit à pied ou en voiture entre deux points ou de tracer son propre itinéraire, avec au final la distance, le temps de parcours et le dénivelé associés. Certains points d’intérêt issus de données Open Street Map peuvent être accessibles.

➢ Visualiser l’évolution d’un lieu
L’onglet "Comparer" offre cette fonction passionnante par le biais de deux fenêtres l’une avec l’actuel et l’autre avec une photo ancienne ou une carte pouvant dater du XVIIIe siècle !

Néanmoins, si l’application vous offre une mine d’informations sur les territoires, sur leur histoire, et une aide pour le meilleur itinéraire, elle ne vous y emmène pas (navigation) ni ne vous permet d’accéder à un parcours préenregistré ; elle a ses propres originalités, n’a pas vocation à concurrencer d’autres applications commerciales spécifiques, mais vient en complément.

(*) Institut national de l’information géographique et forestière

Source : Que Choisir

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12. France Identité : l’identité numérique se déploie

Lancée en février 2024 et accessible à tous, l’application "France Identité" fournit une version numérique des données d’identité, à la condition d’être détenteur d’une carte d’identité nouveau format, à l’œuvre depuis 2021. Elle ne remplace pas celle-ci mais donne accès à l’envoi d’un justificatif à usage unique pour, par exemple, aller chercher un colis, attester de son âge ou encore louer un appartement.

L’application accueille également une déclinaison dématérialisée du permis de conduire, qui s’avère utile en cas de contrôle routier. L’immatriculation dématérialisée devrait bientôt voir le jour. Une identité numérique certifiée peut être délivrée via cette appli, elle permet de prouver son identité sans se déplacer pour certaines démarches.

L’application France Identité doit tout d’abord être téléchargée sur le smartphone de l’utilisateur, qui doit entrer le numéro de sa carte d’identité nouveau format, puis déclarer un code personnel.

Un usager détenant une identité numérique "France Identité" peut la faire certifier après une demande dans son application suivie d’un passage dans une mairie formée à cette démarche. La liste des municipalités aptes est disponible sur le site de l’Agence nationale des titres sécurisés (ANTS) dédié aux rendez-vous en mairie.

Source : Que Choisir

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Ont participé à cette édition : Michel Boutard, Pierre Doré, Michel Fregonara, Patrick Gribe et Jean-Pierre Rochette.