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Lettre mensuelle d'information des adhérents - N° 168 - Décembre 2024
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SOMMAIRE
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1. Médicaments : un gaspillage qui coûte cher |
Nous sommes vraisemblablement tous d’accord : le gaspillage est une absurdité économique et écologique. Il s’avère encore plus désespérant quand il touche notre système de santé mal en point.
Les réactions l’ont montré après l’enquête de l’UFC-Que Choisir révélant que, des années après leur date de péremption, la plupart des médicaments restent efficaces. Ce constat fait écho à un autre, dressé par le syndicat Convergence infirmière : nos armoires à pharmacie familiales sont remplies de dispositifs médicaux et de médicaments qui finiront à la poubelle.
Les raisons de cette gabegie sont multiples selon la présidente de l’organisation : « Certains pharmaciens délivrent en dépit du bon sens, typiquement des boîtes de 90 comprimés tous les mois alors que le patient en prend un par jour, ou de quoi procéder à 6 piqûres quand 2 sont prescrites. Des personnels d’hôpitaux remplissent des ordonnances qui ne correspondent pas aux besoins, par exemple des pansements de 3 tailles différentes pour 1 seule plaie. Des organismes d’hospitalisation à domicile fournissent des boîtes inutiles. Les laboratoires proposent des conditionnements surdimensionnés, et les patients ne s’assurent pas toujours qu’ils n’ont pas déjà le médicament avant de passer le prendre à la pharmacie. »
La Cour des comptes s’est saisie du dossier, tout comme l’Assurance maladie, qui doit désormais analyser les multiples causes du gaspillage afin d’espérer y remédier.
Source : Que Choisir
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2. Dates limites de consommation : reporter les DLC pour moins gaspiller |
Si de nombreux facteurs concourent au gaspillage alimentaire, une étude européenne a évalué que la mise au rebut de produits ayant dépassé leur date limite en représente 10 % environ du volume total.
Un élément minoritaire, donc, mais facilement évitable. Car dans bien des cas, il n’y a aucune raison de jeter ces denrées à la poubelle.
Carrefour s’est attaqué au problème dès 2018, et a récemment tiré un bilan de son opération. Plus de 500 produits sont concernés. Concrètement, certaines dates ont été supprimées ; on peut alors lire sur l’emballage la mention « se conserve sans limite de temps » suivie de consignes de conservation. « Nous l’avons fait notamment pour le sel, le sucre, le vinaigre ou certains bonbons, mais nous sommes contraints par un règlement européen qui énumère une liste limitative des denrées où l’absence de DDM [date de durabilité minimale, voir ci-dessous] est autorisée », explique le directeur développement durable du groupe Carrefour.
Vérification faite, la plupart de ses concurrents s’abstiennent aussi d’apposer des dates sur ces aliments non périssables.
Mais Carrefour a pris une initiative supplémentaire : « Nous avons saisi la Commission pour que la liste soit modifiée et intègre d’autres produits sans risque de dégradation comme le miel, les pâtes, le riz ou les lentilles. »
Que ces prolongations soient possibles n’a rien d’étonnant. L’UFC-Que Choisir a déjà démontré, en faisant pratiquer des analyses sur des références achetées au rayon frais, que la quasi-totalité d’entre elles étaient parfaitement consommables plusieurs jours après cette date, voire plusieurs semaines en ce qui concerne les yaourts.
Deux types de dates
➢ La DDM (date de durabilité minimale) concerne les produits "à consommer de préférence avant" telle date. Au-delà, les qualités gustatives peuvent être altérées, mais leur consommation n’entraîne aucun risque sanitaire.
➢ La DLC (date limite de consommation) correspond à la mention "à consommer jusqu’au…". Au-delà de cette date, les denrées sont susceptibles de représenter un risque pour la santé.
Source : Que Choisir
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3. Prévention : que valent les vaccins contre le VRS pour les seniors ? |
Appelées bronchiolites chez les tout-petits, les infections respiratoires à VRS (virus respiratoire syncytial) touchent aussi les personnes plus âgées avec des risques de complications (décès, hospitalisation).
Deux vaccins, Abrysvo et Arexvy, ont été commercialisés en 2024. La Haute Autorité de santé les recommande aux plus de 75 ans et aux plus de 65 atteints de pathologies cardiaques ou respiratoires. Ces deux vaccins ont démontré leur efficacité pour réduire la fréquence des infections.
Mais, avertit la revue médicale Prescrire, leur efficacité est « insuffisamment démontrée en prévention des formes graves, notamment chez les personnes les plus à risque ».
Autrement dit, il n’est pas prouvé qu’ils rendent service à celles et ceux qui en ont le plus besoin.
En l’état des connaissances, les personnes, même vaccinées, devront donc rester attentives aux éventuels signes d’aggravation en cas d’infection à VRS.
Source : Que Choisir Santé
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4. Que valent les pâtes et riz à cuisson rapide ? |
Jusqu’à 15 minutes pour les pâtes, jusqu’à 30 minutes pour le riz, c’est souvent trop long quand les enfants sont affamés ou si le timing est serré !
Les industriels ont trouvé la parade : ils nous permettent d’expédier la cuisson en 3 minutes pour les pâtes et 5 minutes pour le riz. Leur secret : une épaisseur moindre pour les premières et une précuisson pour le second.
Quels sont les effets de cette "accélération" ? Sur le plan du goût et de la texture, chacun se fera son opinion et, en ce qui concerne les apports en macronutriments (fibres, sucre, protéines…), aucun débat n’est possible : ces produits sont parfaitement identiques à leurs équivalents à cuisson longue.
D’autres défauts, plus évidents, sont néanmoins à noter. D’abord, accélérer la cuisson nécessite de raffiner les céréales, c’est-à-dire de retirer l’enveloppe qui entoure les grains de blé et de riz complets. Or, cette dernière est très riche en nutriments, en particulier en fibres, qui protègent du cancer et des maladies cardiovasculaires et dont notre alimentation manque cruellement.
Ensuite, ces produits coûtent plus cher : en moyenne, 0,26 € de plus au kilo pour les pâtes "3 minutes" par rapport aux références traditionnelles, et 1,21 € de plus au kilo pour le riz "5 minutes" de Lustucru (le seul disponible sur le marché) par rapport à ses équivalents classiques.
Source : Que Choisir
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5. Plaques d’immatriculation : la fraude à la "doublette" ne cesse d’augmenter |
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Les automobilistes les plus indélicats n’hésitent pas à recopier les plaques d’immatriculation d’autres voitures pour échapper aux contraventions.
Si l’on en croit le bilan 2023 des infractions routières publié par le ministère de l’Intérieur, les cas de « circulation d'un véhicule muni d'une plaque portant un numéro d'immatriculation attribué à un autre véhicule » ne cessent de croître. Le phénomène a encore progressé de 4,8 % entre 2022 et 2023, pour 23 072 cas recensés. Et sur 6 ans (2017 à 2023), il est possible de parler d’explosion des fraudes : +45,8 % !
Un projet de loi aurait dû être débattu au printemps dernier. Celui-ci comportait un article unique : il proposait que toute personne faisant réaliser une plaque d’immatriculation devait fournir nécessairement une pièce d’identité et un certificat d’immatriculation. Mais avec la dissolution de l’Assemblée, le député Luc Geismar, auteur de la proposition, a perdu son siège, et sa proposition de loi a directement rejoint les oubliettes.
L’État semble cependant conscient du problème et le ministère de l’Intérieur a précisé les points suivants en avril dernier : « IA flash (Intelligence Artificielle) permet, par le recours à l’intelligence artificielle, d’effectuer une comparaison marque/modèle entre la photo d’infraction et les infos contenues dans le système d’immatriculation des véhicules […]. Ainsi, pour les dossiers identifiés comme des usurpations d’immatriculation, l’avis n’est pas envoyé au propriétaire et le dossier est transmis aux services enquêteurs. » La Cour des comptes abonde, et affirme même que le système d’intelligence artificielle « est à l’origine de près d’une détection de fraude avérée aux cartes grises sur cinq ».
L’intelligence artificielle ne parvient toutefois pas à régler tous les problèmes. Les victimes d’usurpation de leur numéro d’immatriculation ne doivent surtout pas payer l’amende lorsqu’elle arrive à leur domicile. Il va s’agir de la contester. Dans un premier temps, il faut déposer plainte, contre X. Cela peut se faire en ligne, puis au commissariat. Le véhicule est alors enregistré comme volé.
L’État enjoint l’automobiliste malheureux à fournir tout document qui tendrait à prouver qu’il ne pouvait se trouver au volant de sa voiture au moment où le délit a été relevé : témoignages, billets de train, attestation de l’employeur, etc. Armé de tous ces documents, l’automobiliste victime d’une doublette peut alors contester son amende (dans les 45 jours qui suivent son envoi) et surtout établir ensuite une nouvelle carte grise, qui lui donnera un nouveau numéro d’immatriculation et ce, sans bourse délier.
Source : Que Choisir
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6. Mon opérateur a résilié mon numéro sans vérifier mon identité |
Un cauchemar !
Soudainement votre accès à Internet est coupé sur votre smartphone. Impossible aussi d’envoyer ou de recevoir des SMS et des appels. Puis, très vite, vos comptes en banque sont allégés de centaines ou de milliers d’euros et vous n’avez plus la main sur vos profils sur les réseaux sociaux. Vous venez d’être victime de l’arnaque dite du "SIM-Swapping", ou échange de carte SIM.
Un fraudeur a pris le contrôle de votre vie numérique puisque c’est lui qui reçoit désormais les codes reçus par SMS ou les notifications permettant de s’authentifier, notamment auprès de sa banque.
« Mon fournisseur d’accès à Internet a résilié mon numéro sans vérifier si j’étais le demandeur », témoigne Pierre, une victime. « Cela s’est soldé par une tentative de piratage de mon compte bancaire, heureusement vite stoppée par les services de ma banque. »
Si cela vous arrive, chaque minute compte. Il faut signaler la fraude à votre opérateur et demander la désactivation de la nouvelle carte et la réactivation de l’ancienne et ensuite déposer plainte au commissariat, à la gendarmerie ou en ligne.
Votre compte bancaire est affecté ? Contactez votre banque pour qu'elle puisse bloquer les transactions frauduleuses. Et si le mal est déjà fait, demandez la restitution des fonds dérobés. Dans le cas d’un vol d’argent à la suite d’une arnaque, elle doit vous rembourser.
Pour éviter de se faire avoir, quelques règles "d’hygiène numérique" sur Internet sont à respecter. Il faut se méfier des messages et des appels qui pourraient provenir de l’opérateur. Si la personne au bout du fil vous demande de donner des informations, par précaution, raccrochez et rappelez votre opérateur pour être sûr qu’il s’agit bien de lui. Pareil pour les sites Internet : assurez-vous d’être sur le vrai et pas sur une copie.
Source : 60 Millions de consommateurs
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7. Bien chaussées ou "enchaînées", c’est la règle en montagne pour les voitures |
Sans chaînes à neige, les voitures doivent être équipées de pneus homologués 3PMSF (soumis à tests d’adhérence réglementaires sur neige). Le marquage M+S, déclaratif, ne suffit plus. Le marquage 3PMSF représente un flocon de neige entouré par 3 pics montagneux porté au flanc du pneu.
La loi Montagne impose depuis le 1er novembre 2024 les seuls pneus 3PMSF qu’ils soient hiver ou toutes saisons (à défaut de chaînes), ceci dans 4 000 communes de 34 départements.
Plus précisément, est requise la « détention de dispositifs antidérapants amovibles permettant d'équiper au moins deux roues motrices ou le port, sur au moins deux roues de chaque essieu, de pneumatiques “hiver” » ; en pratique soit chaînes à neige (métalliques ou chaussettes à neige textiles) sur deux roues motrices soit 4 pneus 3PMSF adaptés hiver.
Des panneaux spécifiques sont déployés dans les zones concernées :
Si aucune sanction ne sera appliquée cet hiver 2024-2025 (dans l’attente d’un décret), le risque est de devoir faire demi-tour sur injonction des forces de l’ordre…
Les départements concernés : 01, 03, 04, 05*, 06, 07, 09, 11, 12, 15*, 25, 26, 31, 38, 39, 42, 43*, 48, 57, 63, 64, 65, 66, 67, 68, 69, 70, 73*, 74*, 81, 90, 83, 84 et 88.
(*) toutes communes confondues.
Source : Que Choisir
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8. Il y a un excédé au numéro qui n’a rien demandé |
Une étape vient d’être franchie pour interdire par défaut le démarchage téléphonique.
Le système actuel est basé sur le principe hypocrite selon lequel le consommateur est présumé avoir donné son accord pour recevoir des sollicitations commerciales par téléphone (fixe et/ou mobile).
Le dispositif Bloctel n’a pas enrayé le phénomène y compris après ses mesures de renforcement issues de la loi dite Naegelen en 2020 ; il reste inefficace. Les interdictions sectorielles (rénovation énergétique, formation) ne persuadent pas non plus toujours les démarcheurs mal intentionnés.
Et quand on sait que 97 % des Français sont agacés par le démarchage commercial (sondage UFC-Que Choisir) et qu’une liaison dangereuse existe entre démarchage téléphonique et litiges de consommation comme le dénoncent les associations de consommateurs, il est urgent que ce principe évolue.
La proposition de loi portée par le sénateur Verzelen adoptée à l’unanimité par le Sénat vise à interdire par défaut le démarchage téléphonique et à imposer un consentement exprès préalable avant tout démarchage (système dit "opt’in" ayant fait ses preuves à l’étranger et réclamé par 450 000 citoyens dans le cadre d’une pétition de 2020), comme pour les mails et SMS, moins intrusifs, même s’ils polluent souvent les boites de réception et messageries…
Espérons que l’essai sera transformé par une mise à l’ordre du jour rapide de l’Assemblé nationale.
Source : Que Choisir
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9. Marche arrière, en avant toute ! Tant pis pour la pollution plastique |
Annulation par le Conseil d’Etat du décret d’application de loi anti-gaspillage pour une économie circulaire (dite loi Agec) interdisant la vente au détail de fruits et légumes frais sous emballage plastique (sauf exceptions), pour cause de non-respect des procédures européennes. Il avait déjà retoqué la première mouture pour des raisons juridiques.
Le reproche, cette fois, est ne pas avoir tenu compte d’un report de sa publication au moins jusqu’au 15 décembre 2023, tel que demandé par la Commission européenne qui souhaite la mise en place de normes harmonisées par les États membres, toujours en cours d’élaboration.
Pour autant une troisième mouture est envisageable à condition qu’elle respecte les procédures et délais en vigueur au sein de l’Union européenne et que le ministère de l’Agriculture s’y plie et résiste au lobbying des industriels plasturgistes et de la filière agricole. A noter que les enquêtes UFC-Que Choisir en grandes surfaces montrent que le respect de cette mesure reste très aléatoire.
Retards qui ne peuvent qu’aggraver le bilan alarmant de l’impact de la pollution plastique sur la santé humaine dressé par le rapport du 14 novembre de l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST).
Source : Que Choisir
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10. Cosmétiques : des substances interdites subsistent |
Selon l’Agence européenne des produits chimiques (European chemicals agency ECHA), les textes encadrant l’usage d’ingrédients très polluants et toxiques ne sont pas toujours respectés. Les produits concernés sont soit des "polluants organiques persistants", soit des substances "très persistantes, bioaccumulatives et toxiques".
La composition de près de 4 700 produits a été contrôlée. Bilan : 6,4 % d’entre eux contiennent l’un de ces ingrédients. D’après l’ECHA, les entorses à la réglementation les plus fréquentes concernent le perfluorononyl dimethicone, présent principalement dans des crayons pour les yeux ou les lèvres.
À partir de 2027 la réglementation sera renforcée, et le cyclotétrasiloxane, le cyclométicone et le cyclopentasiloxane seront interdits dans tous les produits cosmétiques, y compris les non rincés. Si vous utilisez l’application "QuelProduit" de l’UFC-Que Choisir, vous vous abstenez déjà d’utiliser des cosmétiques en contenant. Soupçonnés de perturbation endocrinienne, ils sont pénalisés depuis des années dans cette application et les tests de produits cosmétiques de Que Choisir.
Source : Que Choisir
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11. Dépannage sur autoroute : les tarifs augmentent encore |
Les opérations de dépannage, de remorquage et d’évacuation des véhicules sur autoroute ou sur voies express sont strictement encadrées et doivent être assurées par des entreprises agréées. Les tarifs sont également réglementés et sont fixés chaque année par un arrêté du ministre de l’Économie, des finances et de l’industrie.
À compter du 1er décembre 2024, le tarif est de 148,67 €, soit une augmentation de 2,87 %.
Attention : des dépanneurs non agréés scrutent les applications de navigation (Google Maps, Waze…) pour repérer les signalements « véhicule arrêté sur le bas-côté » et arriver avant la dépanneuse officielle. Et là, la facture peut être très salée, 10 fois supérieure aux tarifs officiels.
Pour se prémunir de ces abus, le premier réflexe doit être de demander, lors de l’appel via la borne d’urgence ou à votre assureur, le nom de l'entreprise de dépannage mandatée pour l'intervention. Ensuite, lorsque le véhicule de dépannage arrive sur place, l'information sur les tarifs doit être affichée dans la cabine du véhicule.
Si le véhicule ne peut être dépanné sur place, il doit être déposé soit dans le garage de l’intervenant (sans limitation de distance) soit dans un lieu de votre choix situé à moins de 5 km de la sortie de l'autoroute ou de la voie express. Au-delà, des frais pour les kilomètres supplémentaires parcourus peuvent être appliqués. Là encore, demandez la tarification avant que le dépanneur ne prenne la route.
Source : Que Choisir
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12. Les neuf règles d’or de la sécurité des batteries au lithium |
Les batteries au lithium équipent de nombreux objets de notre quotidien : cigarettes électroniques, ordinateurs, tablettes, trottinettes électriques et vélos... Dans des conditions normales d’utilisation et d’entretien, si la batterie est conforme, elle ne présente généralement pas de risque. Cependant on compte quelques accidents ou incendies, voici donc quelques conseils et règles à suivre pour les utiliser en toute sécurité.
➢ Respectez les conditions d’utilisation de votre batterie au lithium.
➢ Utilisez un chargeur adapté.
➢ Ne chargez pas la batterie de votre appareil sur une surface inflammable.
➢ Ne chargez pas la batterie de votre vélo ou de votre trottinette dans un endroit qui bloque une issue de secours.
➢ Débranchez la batterie une fois la charge terminée.
➢ Soyez vigilant si votre produit chauffe pendant la charge : cela peut venir d’un défaut de sa batterie. Consultez les rappels en cours sur rappel.conso.gouv.fr
➢ Soyez vigilant en cas de doute sur la sécurité de votre batterie au lithium : consultez les rappels en cours sur rappel.conso.gouv.fr
➢ Soyez vigilant si votre batterie au lithium fuit ou est endommagée : c’est un danger pour vous car ces batteries peuvent surchauffer et causer des incendies.
➢ Ne gardez pas inutilement une batterie au lithium dont vous ne vous servez plus et faites-la recycler : les distributeurs ont l’obligation de proposer la reprise des batteries du type qu’ils commercialisent.
Pour plus d’informations, consultez l’article sur le site de l’OCDE (*) : Faites le plein d’énergie. En toute sécurité
(*) Organisation de coopération et de développement économiques
Source : DGCCRF
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Président et responsable de publication : Michel Boutard
Responsable de la communicaion : Patrick Gribe
Responsable de rédaction et conception technique : Michel Fregonara
Ont participé à cette édition : Michel Boutard, Pierre Doré, Michel Fregonara et Patrick Gribe.
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