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Lettre mensuelle d'information des adhérents - N° 169 - Janvier 2025
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L’UFC-Que Choisir Lyon Métropole & Rhône vous présente ses meilleurs vœux pour l’année 2025
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SOMMAIRE
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Toutes les imagettes sont cliquables si vous souhaitez les agrandir.
Liens vers des sites du Mouvement UFC-Que Choisir et des organismes partenaires
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1. Dentifrices : sans fluor mais avec sucre |
Plusieurs dentifrices présents sur le marché, majoritairement bios, contiennent du glucose. Un choix très contestable qui amène à les déconseiller.
Neuf des dentifrices pour enfants présents dans la base de données de l’appli QuelProduit contiennent du glucose. Ils sont tous bios et majoritairement de marque Body Nature mais on trouve aussi deux références Douce nature et une Phytonorm. C’est aussi le cas de 24 produits pour adultes, dont plusieurs de marque Curaprox. Une alerte est donnée sur la présence de sucre dans l’appli.
Si ces références doivent être évitées, en particulier pour les enfants, le meilleur moyen d’éviter l’apparition de caries est de choisir un dentifrice contenant du fluor, cela a été maintes fois confirmé. Malheureusement, de nombreux fabricants de cosmétiques bios croient bon d’exclure cet ingrédient de leur formulation.
Source : Que Choisir
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2. Médicaments à éviter : des alternatives à la liste noire de 2025 |
Parmi les médicaments disponibles en France, 88 spécialités offrent un bénéfice insuffisant, voire inexistant, au regard de leurs effets indésirables.
Dans son bilan annuel des médicaments à écarter pour mieux soigner, la revue Prescrire met ainsi à l’index des substances correspondant à des indications variées.
Souvent, il existe des alternatives plus efficaces ou moins risquées. Prenez connaissance de l’inventaire de ces médicaments plus risqués qu’utiles dans l’article à suivre : PRESCRIRE - Médicaments à écarter pour mieux soigner.
Sources : Prescrire & Que Choisir
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3. Gaz à effet de serre : polluantes croisières |
La croisière s’amuse, l’environnement trinque.
Alors que les vacances passées sur ces gigantesques bateaux touristiques connaissent, depuis la fin du Covid, un véritable regain d’intérêt, le magazine anglais Which?, destiné aux consommateurs, vient de dresser le palmarès des compagnies maritimes les plus polluantes.
Plus précisément, son étude porte sur les croisiéristes ayant, en 2023, accosté dans un port européen. En effet, à partir du moment où un navire s’arrête dans un port situé dans nos contrées pour y charger ou décharger des marchandises ou des personnes, l’exploitant est tenu de communiquer une évaluation de ses rejets de CO2 aux autorités européennes. Des informations rassemblées dans une base de données publique.
Selon Which?, le bateau de croisière le plus émetteur de toute l’année 2023 est le Norwegian Epic de la Norwegian Cruise Line, responsable de 95 000 tonnes de CO2 l’année dernière, soit « l'empreinte carbone d'une petite ville de 20 000 habitants ». Gigantesques toboggans, pistes de bowling, club de jazz, restaurants… Ce bateau de 329 mètres de long peut accueillir jusqu’à 4 070 personnes !
Which? a aussi établi une moyenne d’émissions de CO2 par mille marin (1 852 m) parcouru par chaque compagnie. Et, à ce petit jeu, Disney Cruise est la gagnante. En effet, les croisières où l’on peut croiser Mickey, Minnie et leurs copains émettent 1,481 tonne de CO2 par mille marin !
Sources : Que Choisir & Which?
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4. Orange à l’amende ! |
La CNIL (Commission nationale de l’informatique et des libertés) vient d’infliger une amende de 50 millions d’euros à Orange pour avoir inséré, entre des messages, des publicités reprenant la forme d’un mail.
La CNIL a estimé qu’il ne s’agissait pas d’encarts publicitaires classiques mais de prospection commerciale par voie électronique et qu’à ce titre Orange aurait dû recueillir le consentement de ses clients, ce qu’il n’a pas pris la peine de faire.
L’opérateur a, en outre, écopé d’une injonction liée à un mauvais usage des cookies. La CNIL a en effet constaté que l’opérateur et ses partenaires continuaient de recueillir les informations provenant de ces petits programmes laissés sur l’ordinateur des visiteurs de son site Orange.fr, même lorsque ces derniers retiraient leur consentement. Cette pratique est strictement interdite, que ces données soient exploitées ou non. Concrètement, Orange dispose de 3 mois pour se mettre en conformité. Passé ce délai, elle pourrait être soumise à verser une astreinte de 100 000 euros par jour de retard.
Free est, lui aussi, dans le collimateur pour avoir diffusé de fausses informations sur les performances et la couverture de son réseau 5G et pour avoir tardé à rembourser des clients ayant annulé leurs commandes de téléphones mobiles.
Source : Que Choisir
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5. Enfin des condamnations pour non-respect de Bloctel |
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C’est une première !
Un courtier en assurance vient d’être condamné par la Direction départementale de la protection des populations (DDPP) du Rhône à une amende de 124 899 € pour ne pas avoir respecté la liste antidémarchage Bloctel.
La société Groupeo, basée à Lyon, est accusée d’avoir passé 116 899 appels de démarchage vers des consommateurs inscrits sur la liste d’opposition au démarchage téléphonique. Les entreprises ont pourtant l’obligation, depuis 2016, de consulter Bloctel avant toute campagne de démarchage.
Quelques jours plus tard, une autre société était sanctionnée pour des raisons différentes. La SAS Artisan Solidaire de France, spécialisée dans la rénovation énergétique, s’est vu infliger par la DDPP de Seine-Saint-Denis une amende de 48 000 € pour ne pas avoir indiqué à ses futurs clients qu’ils disposaient non seulement d’un droit de rétractation mais aussi de la possibilité de s’inscrire sur la liste Bloctel.
Si ces sanctions vont dans le bon sens, elles ne suffiront pas à stopper le démarchage abusif. D’une part parce que Bloctel reste encore très mal connu (seulement 9 % des Français y auraient inscrit leur numéro) mais surtout parce qu’il faudrait que les contrôles soient beaucoup plus nombreux et que les sanctions se multiplient pour que les sociétés comprennent qu’elles n’ont pas intérêt à passer outre le dispositif.
Source :Que Choisir
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6. 220 000 jouets détruits pour des raisons de sécurité |
La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) réalise chaque année des contrôles afin de vérifier le respect de la réglementation européenne par les professionnels du secteur des jouets et d’identifier d’éventuels produits dangereux. Plus de 2 000 établissements ont été contrôlés. Les problèmes rencontrés sont beaucoup plus fréquents chez les distributeurs non spécialisés et sur certains sites Internet.
Sur les quelques 2 090 établissements visités, le taux d’anomalies s’est élevé à 28 % (soit un point de plus qu’en 2023). Le ciblage opéré par les enquêteurs a permis d’orienter les contrôles vers les établissements susceptibles de poser problème.
Outre la dangerosité de certains jouets (présence de petits éléments détachables, accès au rembourrage ou aux piles, intensité lumineuse de LED, longueur de cordon entraînant un risque d’étranglement…), les contrôles ont mis en évidence des manquements en matière d’informations de sécurité. Les dangerosités constatées ont été principalement mises en évidence à partir d’analyses et tests en laboratoire. Les enquêteurs de la DGCCRF ont ainsi prélevé 679 jouets afin que soient vérifiées leurs propriétés mécaniques et physiques (risque d’arrachage des yeux des peluches, petits éléments accessibles, etc.) au regard de l’âge de l’enfant.
Outre la dangerosité de certains jouets, les contrôles ont mis en évidence des manquements en matière d’informations de sécurité.
La vigilance reste donc de mise dans tous les secteurs du jouet, compte-tenu des évolutions de la réglementation relative aux substances chimiques, de l’innovation en matière de produits et du renouvellement des opérateurs économiques, ceux dont le jouet est le cœur de métier comme ceux qui interviennent sur le secteur de manière occasionnelle.
Source : DGCCRF
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7. Fracture sanitaire : les députés au chevet des oubliés |
L’existence de déserts médicaux s’ajoutant aux dépassements d’honoraires discriminants a amené il y a un an l’UFC-Que Choisir à alerter à nouveau sur l’inaction des gouvernements successifs à résorber la fracture sanitaire qui en résulte et à garantir à chaque citoyen le droit constitutionnel à la protection de la santé.
Si la situation perdure, 95 députés se saisissent enfin du problème et ont constitué un groupe de travail transpartisan sur une proposition de loi visant à encadrer l’installation des médecins et à lutter contre les déserts médicaux. Déposée par le Député socialiste Guillaume Garot, elle est aujourd’hui soutenue par 256 parlementaires de presque tous les bords ; on ne peut que saluer, une fois n’est pas coutume, un tel consensus.
Cette demande de régulation est portée par l’UFC-Que Choisir depuis plus de dix ans et a mobilisé les associations locales et la Fédération, mais aussi les usagers qui ont relayé nos revendications ; le principe de régulation a fait ses preuves à l’étranger. Il est ressorti de notre récent sondage que 93 % d’entre eux y sont favorables sachant que six millions de Français sont sans médecin traitant.
Comme si ce constat ne suffisait pas, nombre de personnes renoncent à des soins pour des raisons économiques. Ainsi 9 % des plus aisés se déclarent en mauvaise santé à comparer aux 19 % vivant avec moins de 24 000 € par an ; conséquence, 8 % des premiers renoncent à des consultations contre 35 % pour les seconds.
D’où l’urgence avérée à lutter contre ces deux phénomènes conjugués.
Source : Que Choisir
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8. Prolongement de la validité d’ordonnances médicales |
Depuis le 29 novembre, des traitements peuvent être encore délivrés avec une ordonnance périmée pendant trois mois.
Un décret (loi datant de mai 2023) permet une extension de validité d’une ordonnance pour autant que le dépassement de la date de péremption soit inférieur à un mois, par tranches d’un mois, et seulement pour les médicaments prescrits « renouvelables ».
Plus de craintes d’interruption de traitement pour les personnes atteintes de maladies chroniques (asthme, affection cardiovasculaire, diabète, etc.). Une souplesse élargie accordée chez le pharmacien qui permet de limiter les difficultés à obtenir parfois un rendez-vous dans les temps.
Un petit rappel général pour la validité d’une ordonnance : passés trois mois après la prescription du médecin, elle n’est plus valable.
Source : Que Choisir
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9. Coup de pouce pour l’achat de thermostats connectés suspendus |
Devant le constat de fraudes massives concernant le dispositif en place pour une aide financière, sans conditions de ressources, pour l’installation d’un thermostat complet connecté (permettant des consignes de température par pièce), il a été suspendu le 22 novembre, soit avec une anticipation de près d’un mois sur la date prévue. À savoir également qu’ils ne seront pas obligatoires en 2025 quoi qu’en disent certains vendeurs mais seulement à partir de 2027, mais sans qu’ils soient forcément connectés.
Calculée en fonction de la taille du logement et octroyée sans lien avec le prix réel de l’équipement, l’aide pouvait être encaissée par l’entreprise installatrice, offrant par ce biais des installations gratuites pour le client mais coûteuses pour l’État, avec des entreprises pas toujours compétentes ni sérieuses.
Ce n’est pas pour autant qu’aucune aide ne soit possible (fiche standardisée RAR-TH-173), mais l’obtention sera soumise à un niveau d’exigence accru passant notamment par un contrôle téléphonique de 80 % des installations.
Le démarchage commercial ne cessera pas avec des propositions d’installation de thermostats connectés gratuits aux ménages acceptant un effacement les jours de pointe de consommation, se traduisant par une diminution automatique des températures de consigne à distance sans action de leur part.
Sources : La Particulier & Que Choisir
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10. Panne de voiture : le garagiste toujours présumé responsable |
Si des désordres persistent ou apparaissent après l’intervention d’un garagiste, sa responsabilité peut être engagée. Pour faciliter l’action du client, la faute du professionnel est présumée même quand l’origine de la panne est incertaine ou difficilement décelable.
Pour la réparation des véhicules qui leur sont confiés, les garagistes sont soumis à une obligation de résultat "allégée". En d’autres termes, le professionnel peut, pour sa défense, tenter de renverser la présomption de faute en démontrant qu’il n’y est pour rien. Mais il lui faut apporter des preuves solides.
Deux décisions récentes de la Cour de cassation illustrent la présomption de la faute du professionnel :
➢ lorsque des désordres persistent après son intervention, les hauts magistrats rappelant que la responsabilité du garagiste au titre des prestations qui lui sont confiées n’est bien sûr engagée qu’en cas de faute, mais que si des désordres surviennent ou persistent après son intervention l’existence d’une faute et celle d’un lien entre la faute et ces désordres sont présumées ;
➢ en cas d’incertitude sur l’origine d’une panne ou la difficulté à déceler cette origine (panne dite "fortuite"), ce qui ne suffit pas, selon la Cour de cassation, à écarter les présomptions pesant sur le garagiste.
Source : Que Choisir
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11. Vélos : la législation concernant l’éclairage évolue |
Même en ville, où l’éclairage public s’allume dès la nuit tombée, équiper son vélo de lumières adaptées et fonctionnelles est capital. Un récent décret relatif à la visibilité des vélos apporte des modifications importantes concernant leur éclairage, avec en particulier l’autorisation des clignotants pour indiquer un changement de direction, mais l’interdiction de feux clignotants pour les feux avant (blanc ou jaune) et arrière (rouge).
Rappel des règles pour l’éclairage des vélos
➢ Un feu de position de couleur blanche ou jaune, non éblouissant, est obligatoire à l’avant du vélo. À l’arrière, la lumière doit être rouge. On peut doubler cet équipement de base d’une 2e lumière du même type, utile si celle qui équipait le cycle à l’achat ne suffit pas. Cet éclairage complémentaire peut être fixé soit sur le vélo, soit sur vous : les casques et gilets équipés de leds sont maintenant admis !
➢ À l’avant comme à l’arrière, les feux de position ne doivent pas être clignotants ou intermittents : les flashs puissants qu’affectionnent beaucoup de cyclistes, pensant ainsi être plus visibles, sont illégaux.
➢ l’installation d’un feu stop à l’arrière et de feux clignotants pour indiquer un changement de direction sont maintenant autorisés.
➢ Là où les lumières peuvent être amovibles ou fixes, cela n’a pas d’importance dès l’instant où l’éclairage est en place et fonctionnel au moment où c’est nécessaire : de nuit, ou de jour par temps de brouillard ou quand la luminosité est insuffisante.
➢ L’éclairage doit avoir une portée suffisante tout en n’éblouissant pas les autres, son intensité doit être adaptée aux circonstances : en ville, où l’enjeu est avant tout d’être vu des autres usagers, un équipement basique suffit. En milieu rural, les lumières servent, en plus, à bien voir la route ou le chemin, et à éviter les obstacles (animaux, flaques, nids-de-poule, objets, poteaux mal placés, etc.). La Fédération des usagers de la bicyclette (FUB) met à disposition sur son site un test comparatif qui permet d’y voir un peu plus clair sur ce sujet.
➢ Les éclairages rechargeables sont pratiques mais attention à ne pas tomber à cours de lumière pendant le trajet. Il faut s’assurer d’une charge suffisante avant le départ.
➢ Les catadioptres sont obligatoires sur les pédales, à l’avant et à l’arrière du vélo, ainsi que sur les rayons des roues, à moins que les pneus ne comportent déjà des bandes rétroréfléchissantes.
➢ Le gilet fluorescent est obligatoire de nuit hors agglomération.
Source : Que Choisir
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12. Fin de la 2G : tous ces vieux appareils seront bientôt obsolètes |
Déployé en France dans les années 1990, le réseau 2G sera complètement débranché en 2026 par tous les opérateurs mobiles. Des milliers d’appareils vont devenir inutilisables.
Cette extinction est prévue pour libérer les bandes de fréquences occupées par la 2G et déployer plus largement la 4G et la 5G sur l’ensemble du territoire. Orange déconnectera son réseau le 31 décembre 2025, Bouygues et SFR l’année suivante.
Les utilisateurs actuels d’un ancien téléphone 2G devront donc à terme s’équiper d’un téléphone captant la 4G. Pour ceux qui affectionnent les téléphones basiques sans Internet, Artfone, Doro et Nokia proposent des modèles 4G pour une soixantaine d’euros.
La 3G aussi sur la fin
L’arrêt du réseau 3G est prévu en 2028 pour SFR et Orange, et fin 2029 pour Bouygues Telecom. Free n’a communiqué aucune date. Avant d’acheter un nouvel appareil, assurez-vous, en consultant la fiche technique en ligne, qu’il soit au moins compatible avec la 4G.
Source : 60 Millions de consommateurs
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13. Adblue : l’UFC-Que Choisir obtient l’élargissement des engagements de Stellantis |
Il y a 18 mois l’UFC-Que Choisir a saisi la DGCCRF et la Commission européenne du scandale de l’AdBlue. La Commission européenne a répondu à l’appel. Stellantis a ainsi pris l’engagement de faire bénéficier l’ensemble des automobilistes européens ayant rencontré des problèmes avec leur réservoir AdBlue, et donc nos concitoyens, des engagements pris devant l’Autorité de la concurrence italienne.
Le groupe s’engage ainsi à compenser les victimes, cette compensation pouvant atteindre 100 %, mais variant en fonction de l’âge du véhicule, des kilomètres parcourus mais aussi de la date de remplacement du réservoir AdBlue.
Au vu des engagements pris en Italie, cela signifie concrètement que pour les véhicules hors garantie depuis moins de 5 ans à compter de la livraison (c’est-à-dire moins de 3 ans à compter de l’expiration de la garantie) et moins de 150 000 km parcourus, le coût des réparations est remboursé à 100 %.
Pour les véhicules hors garantie depuis plus de 5 ans à compter de la livraison (c’est-à-dire plus de 3 ans à compter de l’expiration de la garantie) et jusqu’à 8 ans à compter de la livraison (c’est-à-dire jusqu’à 6 ans à compter de l’expiration de la garantie), la couverture est décroissante en fonction du kilométrage jusqu’à 210 000 km.
Pour rappel, en raison de la cristallisation de l’AdBlue, de nombreux automobilistes ont dû procéder à des réparations onéreuses, le reste à charge moyen étant de 1 000 €, mais certains ont eu à débourser plus de 3 000 euros.
Source : Que Choisir
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Liens vers des sites du Mouvement UFC-Que Choisir et des organismes partenaires |
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UFC-Que
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Siège : 1 rue Sébastien Gryphe, 69007 Lyon
Antenne de Villefranche : 338 rue des Remparts, 69400 Villefranche-sur-Saône
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Président et responsable de publication : Michel Boutard
Responsable de la communicaion : Patrick Gribe
Responsable de rédaction et conception technique : Michel Fregonara
Ont participé à cette édition : Michel Boutard, Pierre Doré, Michel Fregonara et Patrick Gribe.
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