Lettre mensuelle d’information des adhérents - N° 87 - Juillet 2017

Nouvelle campagne "Énergie moins chère ensemble"

L’UFC-Que Choisir organise une nouvelle campagne, comprenant plusieurs nouveautés, pour permettre aux consommateurs, par leur rassemblement, d’obtenir les meilleures offres sur les marchés du gaz et de l’électricité :
➢   1ère nouveauté : offres gaz et électricité à prix fixes 2 ans ;
➢ 2e nouveauté : option "Électricité - Soutien aux petits producteurs d’énergie renouvelable".
Et toujours la sécurité juridique : conditions contractuelles sûres, et accompagnement des souscripteurs par l’UFC-Que Choisir en cas de réclamation.
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SOMMAIRE
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1. Concurrence sur le marché de l’assurance emprunteur : du mieux, mais des freins qui subsistent
2. Syndics : les copropriétaires toujours aussi mal lotis !
3. La carte européenne d'assurance maladie permet d'être soigné à l'étranger
4. Fin des frais de roaming : Sosh et Bouygues Telecom se rattrapent déjà
5. Gaz et électricité : Engie, mouton noir du démarchage à domicile
6. Climatiseurs mobiles : l’efficacité énergétique enjolivée
7. Compléments alimentaires : mieux vaut les éviter pendant la grossesse
8. Les yaourts "périmés" restent bons
9. Les termes "lait de soja" et "fromage végétal" sont désormais interdits
10. Alerte aux prétendus courriels de remboursement de l'Assurance maladie
11. Au bistrot, le verre d'eau n'est pas forcément gratuit
12. Smartphones reconditionnés : fuyez "MyMobileStore"
13. Moto, scooter, quad : une nouvelle plaque obligatoire depuis le 1er juillet 2017
Liens vers des sites utiles au consommateur
 
1. Concurrence sur le marché de l’assurance emprunteur : du mieux, mais des freins qui subsistent

Depuis le mois de février 2017, les consommateurs souscripteurs d’un contrat d’assurance emprunteur peuvent, pendant toute la durée de leur emprunt, en changer chaque année et faire ainsi jouer la concurrence entre banques et assureurs alternatifs.

3 mois après la mise en place effective de la mesure, le Comité consultatif du secteur financier publie un rapport sur les nouvelles pratiques des organismes prêteurs. Côté satisfaction, l’UFC-Que Choisir constate, à sa lecture, une baisse significative des tarifs, assortie d’une amélioration des garanties proposées. C’est particulièrement vrai pour les offres des assureurs alternatifs, qui sur tous les segments d’âge (en particulier pour les jeunes) sont financièrement plus intéressantes que celles des banques et de leurs filiales, attachées à la conservation de leurs marges le plus longtemps possible.

Côté négatif, les freins à la procédure de changement d’assurances subsistent. En effet, pour que la résiliation soit acceptée par l’organisme prêteur, il faut que les garanties proposées par l’assureur alternatif soient équivalentes à celles du contrat existant. Dans ces conditions, les banques ont tendance à allonger plus que nécessaire les délais de contrôle de vérification d’équivalence.

Quoi qu’il en soit, les consommateurs doivent passer outre et faire jouer une concurrence qui ne peut que leur être profitable financièrement. Il faut savoir qu’un ménage moyen peut ainsi économiser plus de 40 % du coût de son assurance, soit plus de 9 000 euros sur l’ensemble de la durée de son prêt.

Source : Que Choisir
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2. Syndics : les copropriétaires toujours aussi mal lotis !

L’UFC-Que Choisir et l’ARC (Association des responsables de copropriétés) ont passé à la loupe les différentes offres contractuelles et tarifs proposés en 2017 par 5 syndics de copropriété (*) couvrant 70 % du marché, pour les comparer aux résultats de 2014. La déception est à la hauteur de l’attente : alors que la loi ALUR était censée couper court aux excès tarifaires des syndics et déloger les mauvaises pratiques, il subsiste encore à tous les étages beaucoup trop d’abus et d’irrégularités !

Parmi d’autres arrangements et contournements de la loi, on peut noter le maintien de clauses abusives dans les contrats, et des excès tarifaires divers et multiples.

Soucieuses d’obtenir un réel assainissement du secteur, l’UFC-Que Choisir et l’ARC demandent notamment à la nouvelle majorité de préciser très strictement le cadre réglementaire afin de couper définitivement court aux possibles arrangements avec la loi.

Plus d’informations sur le site Que Choisir

(*) Citya, Foncia, Immo de France, Loiselet et Daigremont, Nexity.

Source : Que Choisir
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3. La carte européenne d'assurance maladie permet d'être soigné à l'étranger

La carte européenne d'assurance maladie (CEAM) permet de bénéficier d’un accès aux soins dans les mêmes conditions et tarifs que les ressortissants du pays d'accueil. Elle est valable dans les 28 États de l'Union européenne, mais aussi en Islande, au Liechtenstein, en Norvège et en Suisse.

Elle est gratuite et est délivrée uniquement sur demande ; celle-ci doit être formulée au moins 2 semaines avant le départ, à sa caisse d'Assurance maladie, ou, en quelques clics, par le biais de son compte sur ameli.fr ; la carte est ensuite adressée par courrier. En cas de départ imminent, la caisse remet un certificat provisoire, valable 3 mois, attestant des droits de l'assuré et garantissant les mêmes avantages que la CEAM.

Les CEAM délivrées maintenant par le régime général d'Assurance maladie sont valables 2 ans.

Source : Le Particulier
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4. Fin des frais de roaming : Sosh et Bouygues Telecom se rattrapent déjà

La mesure était attendue par les consommateurs en itinérance : elle permet d’utiliser son téléphone en Europe sans surcoût depuis la mi-juin. Mais pour une partie des clients de Bouygues Télécom et de Sosh, la déception est amère. En effet les deux opérateurs en ont profité pour augmenter leurs prix ou modifier leurs offres.

➢ Jusque-là, les clients de Sosh, abonnés aux offres à 19,99 € et à 24,99 € par mois de l’opérateur low-cost d’Orange, bénéficiaient gratuitement de l’application Libon, laquelle leur permettait d’appeler gratuitement les mobiles et les fixes de l’Union européenne, des départements d’outre-mer, ainsi que du Canada, des États-Unis et d’Israël, mais aussi d’appeler depuis n’importe quel endroit dans le monde vers la France métropolitaine depuis leur smartphone connecté en wifi.

Désormais, c’est terminé. Sosh a décidé de retirer Libon de ses forfaits.

➢ De son côté, Bouygues Telecom compense la non facturation des frais de roaming par une augmentation de 2 € en moyenne des tarifs d’abonnement pour près de 50% de ses clients. Par ailleurs, les avantages des contrats multi-lignes de cet opérateur sont désormais supprimés et leurs bénéficiaires pourront voir leur facture mensuelle augmenter de près de 10 € pour certains d’entre eux.

Enfin, Bouygues Télécom supprime l’option "10 heures d’appels" vers l’Algérie, les communications depuis la Suisse dont bénéficiaient certains clients, et facture dorénavant les communications hors forfait 0,50 € la minute. Les clients Bouygues Telecom concernés par les augmentations de tarif ont, s’ils le souhaitent, jusqu’au 15 octobre pour résilier leur forfait sans frais (article 224-33 du code de la consommation).

Quant aux clients de Sosh, ils peuvent résilier à tout moment leur contrat, celui-ci étant par nature sans engagement ni frais de résiliation.

Source : Que Choisir
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5. Gaz et électricité : Engie, mouton noir du démarchage à domicile

Le médiateur national de l’énergie a profité de la présentation de son rapport annuel pour dénoncer la recrudescence des mauvaises pratiques de démarchage à domicile, en pointant deux grands groupes gaziers, Engie et Eni.

Mention toute spéciale pour Engie (ex GDF Suez) qui concentre presque la moitié des plaintes. Eni partage le solde avec Direct Énergie. Ce dernier a renoncé au démarchage à domicile agressif que lui avait tant reproché l’UFC-Que Choisir, mais se concentre désormais sur le démarchage téléphonique, et ne fait toujours pas dans la dentelle ! Tout est bon pour engranger de nouveaux contrats.

Les commerciaux qui démarchent pour le compte d’Engie ne reculent devant rien, annonçant la fin prochaine des tarifs réglementés ou une hausse imminente de 30 % des tarifs du gaz ou de l’électricité, affirmant qu’EDF a fusionné avec Engie et qu’il faut regrouper les contrats puisque c’est la même entreprise, ou encore faisant signer une "attestation de visite" qui s’avère être un contrat de vente d’énergie, etc.

La pose des compteurs Linky offre aussi des opportunités aux démarcheurs, dont certains demandent à entrer sous prétexte de vérifier le nouveau compteur. Une fois dans la place, leur ton persuasif et insistant fait le reste. De nombreux consommateurs démarchés se sont plaints d’argumentations trompeuses et de pratiques agressives ! Que Choisir conseille une nouvelle fois de ne jamais ouvrir sa porte à un commercial.

Source : Que Choisir
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6. Climatiseurs mobiles : l’efficacité énergétique enjolivée

L’efficacité énergétique, en abrégé EER (Energy Efficiency Ratio), permet de répartir les appareils en différentes classes (A, A+, A++, etc.) en fonction de leur consommation énergétique. Pour mémoire, les classes B à F ne sont plus commercialisées dans l’Union européenne depuis 2014.

Or, la norme de calcul est bien généreuse car elle offre une tolérance de 10 % sur l’EER déclaré par le fabricant. Les tests en laboratoire réalisés sur des climatiseurs mobiles par Que Choisir pointent des différences significatives entre la classe annoncée par les fabricants et la réalité. Par exemple, le climatiseur Alpatec Taurus AC 280, annoncé en classe A, se retrouve en classe C à l’issue des tests de Que Choisir. Idem pour le Beko BNAP09C, mesuré en classe C, mais annoncé A+.

De leur côté, les fabricants assurent être conformes à la norme… Mais si vraiment l'efficacité énergétique est primordiale dans votre choix, nous vous conseillons d'installer un climatiseur fixe, mieux isolé et plus efficace.

Source : Que Choisir
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7. Compléments alimentaires : mieux vaut les éviter pendant la grossesse

La supplémentation en vitamines, minéraux et oligo-éléments est répandue chez les femmes en âge de procréer. Il faut dire que l’offre est large, que ce soit en pharmacie, parapharmacie et sur le Net.

La règlementation française fixe des teneurs maximales, cependant :
➢ ces produits étant en vente libre en dehors de toute prescription médicale, rien n’empêche un surdosage de par la multiplication des sources ;
➢ certains produits achetés sur le Net y échappent.

Or l’excès comporte des risques pour l’enfant à naître : hypercalcémie ou hypothyroïdie, qui se traduisent au mieux par des troubles digestifs, au pire par des convulsions, voire par des retards psychomoteurs. Dans un rapport paru début juin, l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) met en garde les femmes contre la multiplication des sources de vitamines et minéraux. Elle recommande d’éviter la consommation de compléments alimentaires sans l’avis d’un professionnel de santé, qui seul pourra, grâce à un suivi biologique régulier, évaluer les besoins de la patiente et en prescrire si nécessaire.

Source : Que Choisir
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8. Les yaourts "périmés" restent bons

Les fabricants de yaourts fixent la date limite de consommation (DLC) à 30 jours maximum à partir de la date de fabrication, bien qu’aucun texte réglementaire n’impose ce délai. Faut-il pour autant les jeter, au-delà de la DLC ? Est-ce vraiment justifié, à l’ère de la lutte anti-gaspi ?

Selon la réglementation, un yaourt doit contenir au moins 10 millions de bactéries lactiques par gramme, pendant toute sa durée de commercialisation. Des analyses ont montré que 3 semaines après la DLC les yaourts demeurent de très bonne qualité microbiologique et que la quasi-totalité des produits reste très largement au-dessus de la valeur réglementaire concernant les bactéries lactiques. Et aucune souche pathogène n’a été trouvée. Autrement dit, les yaourts contenant du sucre ou des fruits ne sont pas plus exposés au développement de bactéries indésirables que les yaourts nature.

Théoriquement, manger un yaourt périmé de 3 semaines ne présente donc pas de danger pour la santé à condition bien sûr de l’avoir conservé au frais. Bien entendu, un yaourt qui semble altéré, avec un opercule gonflé ou une mauvaise odeur ne doit pas être consommé.

Cette étude ne vaut pas pour les desserts lactés (mousses ou crèmes au chocolat, liégeois, etc.).

Source : 60 millions de consommateurs
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9. Les termes "lait de soja" et "fromage végétal" sont désormais interdits

Il ne sera bientôt plus possible d'acheter du "lait de soja", du "beurre végétal" ou encore un "fromage vegan". Tous ces produits d'origine végétale devront changer d'appellation. Dans un récent arrêt, la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) vient d'indiquer que les dénominations "beurre", "fromage", "lait" ou "yoghourt" sont désormais réservées aux produits d'origine animale.

La CJUE a signalé que le soja et le tofu ne faisaient pas partie des exceptions autorisées par la réglementation européenne qui comprennent des produits tels que le lait d'amande ou de coco, les crèmes de fruits (banane, cacao, cassis, menthe... ), la crème de riz ou de marron, le beurre de cacao ou de cacahuète, le fromage de tête ou le haricot beurre.

Source : Le Particulier
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10. Alerte aux prétendus courriels de remboursement de l'Assurance maladie

La Police nationale alerte sur l'envoi de courriels frauduleux imitant ceux de la Caisse d’assurance-maladie.

Prétextant un remboursement (par exemple : « Nous avons déterminé que vous êtes admissible à recevoir un remboursement d’un montant de 89,90 € »), ces courriels renvoient sur un faux site, qui ressemble à s'y méprendre au site officiel de l'Assurance maladie.

Il s'agit en fait d'une technique d'escroquerie en ligne (dite phishing), très utilisée par des escrocs dans le but d'obtenir des informations bancaires ou confidentielles (carte d'identité, passeport, permis de conduire...), puis de s'en servir.

En cas de doute sur l'origine des messages reçus, il ne faut surtout pas cliquer sur les liens contenus dans le courriel et il convient de supprimer ces messages. Ils peuvent également être dénoncés sur le site signal-spam dédié aux signalements frauduleux.

Source : Le Particulier
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11. Au bistrot, le verre d'eau n'est pas forcément gratuit

Dans un bar ou un café, il n’y a pas d'obligation de servir un verre d'eau ordinaire à un client pour accompagner un café, par exemple. Le serveur peut même lui faire payer à condition d'informer le consommateur sur le prix de cette prestation, par un affichage à l'extérieur et à l'intérieur de l’établissement.

On le comprend bien : cette facturation vise à faire partir les clients qui, en période estivale, commandent un café et restent plusieurs heures au soleil en exigeant plusieurs verres d'eau.

Par contre, dans les restaurants, le professionnel a l'obligation de servir de l'eau gratuitement à ses clients qui commandent un repas dans son établissement.

Source : Le Particulier
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12. Smartphones reconditionnés : fuyez "MyMobileStore"

Bien plus abordables que les appareils neufs, les smartphones reconditionnés ont le vent en poupe. Si globalement l’expérience est satisfaisante, comme l’a montré un récent test de Que Choisir, elle vire parfois à la catastrophe.

Depuis des semaines, les témoignages s’accumulent pour dénoncer les pratiques de MyMobileStore : appareils défectueux, voire jamais livrés, SAV injoignable, remboursement quasi impossible, commande annulée unilatéralement. Aujourd’hui le site, basé à Hong Kong, ne répond plus. Et les consommateurs ont peu de chances d’être dédommagés…

Avant de passer commande d’un smartphone reconditionné, nous vous conseillons de vérifier que les informations indispensables vous sont communiquées par le vendeur : état du téléphone ("grade"), déblocage réseau, état de la batterie, garantie commerciale, accessoires livrés. En cas d’achat sur internet, préférez les sites basés en France, ou même dans l’Union européenne : les démarches seront facilitées en cas de litige. N’hésitez pas également à vérifier la renommée du site sur les forums.

Source : Que Choisir
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13. Moto, scooter, quad : une nouvelle plaque obligatoire depuis le 1er juillet 2017

Les motos, les scooters ainsi que les véhicules motorisés à 3 ou 4 roues doivent maintenant être équipés de plaques d'immatriculation uniformes de 210 x130 mm ; à défaut, les conducteurs interceptés avec une plaque non conforme, illisible ou amovible encourent une amende de 135 €.

Auparavant, 6 tailles différentes de plaques étaient autorisées. Cette uniformisation vise à simplifier le contrôle des forces de l’ordre et à permettre l’égalité de traitement des usagers vis-à-vis des radars. Selon l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière, les utilisateurs de deux-roues motorisés circulent en moyenne 10 km/h plus vite que les automobilistes.

Source : Le Particulier
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Liens vers des sites utiles au consommateur
Accidents & Victimes (Assistance aux victimes d'accidents face aux compagnies d'assurance)
ADIL (Informations sur le logement - Propriété et location)
DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes)
Energie infos (Gaz et électricité - Service public de la CRE)
Europa (Portail de l'Union européenne)
INC (Institut national de la consommation - Conso.net)
La finance pour tous (Site pédagogique sur l'argent et la finance)
Liste des compagnies aériennes interdites d'exploitation dans l'Union Européenne
Réseau anti-arnaques (Partenaire de l'UFC-Que Choisir)
Service-public.fr (Portail des services administratifs - Droits et démarches)
TELECOM Infoconso (Site public de l'ARCEP)
UFC-Que Choisir (site national)
UFC-Que Choisir Lyon Métropole & Rhône
UFC-Que Choisir : chaîne Youtube de videos sur la consommation
Universimmo (Site privé d'informations sur l'immobilier - Propriété et location)
Web Additifs (Informations sur les additifs alimentaires)
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UFC-Que Choisir Lyon Métropole & Rhône
Siège : 1 rue Sébastien Gryphe, 69007 Lyon
Antenne de Villefranche : 47 passage de l’Ancienne Mairie, 69400 Villefranche-sur-Saône
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Président et directeur de publication : Michel Boutard
Responsable de rédaction : Michel Fregonara
Ont participé à cette édition : René Barraud, Michel Boutard, Michel Fregonara, Françoise Gaudin et Chantal Roleau.