Lettre mensuelle d'information des adhérents - N° 172 - Avril 2025

Dans le prolongement de notre assemblée générale du 28 mars, le conseil d’administration, constitué de 13 administrateurs, s’est réuni le 1er avril pour établir, selon un schéma d'organisation sructurelle validé lors de notre assemblée générale extraordinaire du 29/09/2023, la gouvernance de l'associaion composée d'un bureau et de responsables d'unités.
Bureau :
➢ président : Michel FREGONARA
➢ secrétaire général : Laurent BRAC DE LA PERRIÈRE
➢ trésorier : Jacques REYNAUD
Responsables d'unités :
➢ adminisration générale : Jean-Claude MASSIN
➢ animation et communication : Patrick GRIBE
➢ conseil et litiges : Dominique REYNAUD
➢ finances et logistique : Jacques REYNAUD

Soyez assuré que toutes les forces vives de l’association, ses administrateurs, ses bénévoles, sa salariée et ses stagiaires continueront à s’engager pleinement au service des adhérents et demeurent animés par la détermination d’être à l’écoute des consommateurs et d’agir à leur défense et à la promotion de leurs droits.
SOMMAIRE
Toutes les imagettes sont cliquables si vous souhaitez les agrandir.
Liens vers des sites du Mouvement UFC-Que Choisir et des organismes partenaires
 
1. Appel à témoignages : démarchage à domicile pour les travaux de rénovation énergétique

De très nombreux abus apparaissent dans les litiges pour lesquels nous assistons nos adhérents dans ce domaine d’activité.

Vos témoignages nous aideront à étayer nos demandes d’encadrement et d’interdiction de ces pratiques abusives.

Pour déposer votre témoignage suivez ce lien.

Source : Fédération UFC-Que Choisir

Retour au sommaire
 
2. Covid-19 : les tests rapides en pharmacie ne sont plus remboursés

C’était un geste devenu presque banal au temps fort de la pandémie : se rendre en pharmacie pour demander un dépistage du Covid-19, intégralement remboursé.

Cette page est désormais refermée. Depuis le 1er mars, ces tests (16,50 €) seront à la charge des patients. Cette mesure concerne à la fois les tests antigéniques et RT-PCR.

Des restrictions avaient déjà été posées au remboursement des tests de dépistage du Covid-19. D'abord pour les personnes non vaccinées en 2021, puis avec l’introduction d’un ticket modérateur en 2023 – les complémentaires endossant le plus souvent ce coût.

Il faudra désormais présenter une ordonnance pour être éligible au remboursement, à condition d’être une personne à risque de forme grave, en raison de son âge ou d’une pathologie chronique.

Source : Que Choisir

Retour au sommaire
 
3. Complémentaires santé : les tarifs des mutuelles s’envolent

L’inflation n’a pas disparu dans tous les domaines : alors que l’inflation annuelle de l’indice général des prix est passé sous la barre des 2 %, celui des tarifs des complémentaires santé a augmenté de 7 % en 2025.

Un nouveau coup de massue pour les assurés, après 2 années déjà particulièrement inflationnistes. En 3 ans, la facture pour les assurés s’est alourdie de 25 % en moyenne.

Cette envolée des prix touche tout particulièrement les retraités qui doivent supporter l’intégralité de leurs cotisations d’assurance santé, contrairement aux salariés dont l’employeur prend en charge une partie de la cotisation. Plus exposés aux problèmes de santé, les seniors sont donc ceux qui payent également les cotisations les plus élevées. Pour un couple de 68 ans, la facture mensuelle peut facilement atteindre 240 €. La hausse de 25 % a donc représenté un surcoût de 600 € par an.

Dans ce contexte, pensez à faire jouer la concurrence.

Pour vous aider dans votre choix d’une bonne mutuelle, Que Choisir propose une nouvelle version de son comparateur mutuelles avec les tarifs 2025 et des résultats encore plus clairs.

Source : Que Choisir

Retour au sommaire
 
4. Prudence avec les huiles essentielles

Bien que naturelles, les huiles essentielles comportent des risques surtout pour les plus jeunes.

La moitié des appels passés aux centres antipoison à leur sujet concernent des enfants de 3 ans ou moins.

Il est donc impératif de les mettre hors de leur portée.

Source : Que Choisir Santé

Retour au sommaire
 
5. Testé pour vous : déposer un faux avis

Quand on est vendeur sur Amazon, l’une des solutions pour sortir du lot consiste à afficher de bons avis. Plus ils sont nombreux, plus la note du commerçant est élevée et plus ses produits sont mis en avant.

Alors, afin de booster leur visibilité, certains vont jusqu’à rembourser le montant des achats en échange d’un bon commentaire. Après s’être inscrit sur un site Facebook diffusant des offres rémunérées d’avis "bidons", des lecteurs de la revue Que Choisir ont posé leur candidature.

Il n’a pas fallu plus de 5 minutes pour qu’ils soient contactés. Après quelques échanges et des promesses de cadeaux, ils ont opté pour l’achat d’une montre connectée à 19,90 €. Sans même l’essayer, ils lui ont attribué la note de 5 sur 5 assortie de commentaires élogieux. Au bout de 20 jours, ils ont été remboursés de leur achat et ont reçu des bons cadeaux !

L’UFC-Que Choisir a même ouvert un restaurant fictif en créant une page Facebook annonçant son ouverture prochaine. Puis l’UFC a contacté quatre agences malgaches spécialisées en e-réputation afin de savoir si elles voulaient bien publier sept témoignages sur notre page pour attirer de futurs clients. Moyennant 15 € le commentaire, en quelques jours, la page a été "likée" plusieurs fois !

Autre expérience intéressante : dans une station de ski, des lecteurs de la Revue ont surpris une conversation entre deux saisonniers. L’un expliquait avoir passé une partie de sa journée à « faire du TripAdvisor » pour le compte de la résidence de luxe dans laquelle il travaillait. Et en effet, la page était pleine d’avis récents remplis de superlatifs (« Extraordinaire !!! À faire absolument !!! »), d’expressions positives saugrenues (« Le club comme on l’aime ») et de compliments quant à l’accompagnement de la « formidable équipe de l’établissement », prénoms à l’appui.

Du faux à plein nez.

Source : Que Choisir

Retour au sommaire
 
6. Voyageurs oubliés : Blablacar et Flixbus assument

La presse se fait souvent l’écho des déboires de passagers dont le bus est reparti sans eux à la fin d’une pause. Le pire, c’est que les transporteurs semblent dans leur droit !

Lors d’un trajet en bus de nuit entre Paris et Nantes, Karl a vécu l’enfer. « Il était quatre heures du matin. Le conducteur s’est arrêté sur une aire d’autoroute pour une halte de 15 minutes parce que les WC étaient hors d’usage », raconte-t-il. Avec sa compagne, il va aux toilettes, en respectant le temps imparti. À son retour, c’est la panique, son car a démarré. « Nous l’avons poursuivi mais, malgré nos cris, il est parti sans nous », déplore ce lecteur de Que Choisir.

La presse regorge d’histoires similaires. Interrogés, les représentants des sociétés de transport n’éludent pas le problème. Ils ont même donné un nom à ces naufragés : les "passagers oubliés". « Chez BlaBlaCar, c’est à peu près 1 tous les 10 000 », précise Aurélien Gandois, directeur des activités bus de l’entreprise.

Les professionnels assument de faire partir un bus sans tous ses voyageurs. La pratique figure même dans leurs conditions générales. Ainsi, celles de FlixBus stipulent que « le personnel roulant ou d’accompagnement est autorisé à poursuivre le voyage même si un passager n’est pas de retour au bus une fois le temps de pause écoulé et n’est pas responsable de [son] absence après le temps de pause indiqué ».

Une passagère descendue de l’autocar au cours d’une halte sur une aire d’autoroute, a vu le bus repartir sans elle, emportant ses effets personnels (sac à dos avec caméra, montre, journal intime…). Elle s’est retrouvée en tee-shirt sur une aire d’autoroute ! Finalement, c’est un automobiliste qui a accepté de la ramener jusqu’à Amsterdam. La voyageuse n’a jamais récupéré ses affaires. Elle a donc attaqué en justice.

Mais qui croire dans ce genre de cas ? La passagère, qui dit avoir respecté le temps de pause signifié par le conducteur ou le transporteur, qui affirme le contraire ? N’ayant pas fourni la feuille de route où sont consignées les étapes d’un trajet, FlixBus n’a pas convaincu les juges. La société a été condamnée à indemniser la cliente à hauteur de 550 € pour le préjudice matériel (une partie des affaires) et de 2 050 € au titre du préjudice moral.

Un jugement qui pourrait bien faire date.

Source : Que Choisir

Retour au sommaire
 
7. Dons aux œuvres : la réduction d’impôt Coluche est étendue

La loi de finances pour 2025 aménage la réduction d’impôt Coluche pour les dons faits par les particuliers à compter du 15 février 2025. Le bonus de 75 % est étendu à davantage d’organismes d’intérêt général et son plafond majoré de versements est pérennisé.

La réduction d’impôt pour don est en principe égale à 75 % pour les versements effectués au profit des associations d’aide aux personnes en difficulté type Croix rouge, Restos du cœur ou Secours populaire (réduction d’impôt Coluche), acceptée dans la limite de 1 000 € par foyer fiscal et par an.

Elle tombe à 66 % pour les dons qui dépassent 1 000 € et ceux consentis à d’autres organismes d’intérêt général ou reconnus d’utilité publique, retenus dans la limite de 20 % des revenus imposables du foyer.

Le bonus de 75 % est toutefois régulièrement étendu à d’autres causes par les pouvoirs publics afin de flécher la générosité des Français. Il s’est notamment appliqué aux dons aux associations d’aide aux victimes de violences domestiques entre 2020 et 2022 et aux dons aux associations cultuelles entre juin 2021 et décembre 2022. Il est également étendu, depuis septembre 2023 et jusque fin 2025, à certains dons à la Fondation du patrimoine. Rebelote cette année, l’État souhaite à nouveau encourager les particuliers à soutenir la sauvegarde de notre patrimoine religieux et la lutte contre les violences domestiques.

La loi d’urgence pour Mayotte adoptée le 24 février 2025 étend à son tour la réduction d’impôt Coluche aux dons effectués entre le 14 décembre 2024 et le 17 mai 2025 au profit des organismes d'intérêt général qui aident la population locale touchée par le cyclone Chido. Ces dons ouvrent droit à la réduction de 75 % dans la limite de 2 000 € par foyer et par an, au lieu d’une réduction de 66 % dès le premier euro. Cette limite est également distincte de celle de 1 000 € applicable aux autres dons éligibles au bonus de 75 %.

Soyez généreux !

Source : Que Choisir

Retour au sommaire
 
8. Une information à Relayer !

Des escrocs sont de plus en plus efficaces dans le mimétisme en vue de vous soutirer vos données personnelles. Un exemple avec de pseudo-mails de Mondial Relay.

Un e-mail informe qu’un colis n’a pu être livré et propose le choix d’un autre mode de retrait. Tout y est, le graphisme, les couleurs, le logo, un français bien rédigé et sans fautes, pour gagner votre confiance ; un appel à vigilance est même donné vis-à-vis des phishings (mails d’hameçonnage) !

Et pourtant, pourtant (comme dirait Aznavour), le site, tout aussi impressionnant de réalisme, auquel renvoie le mail est un faux qui va jusqu’à vous proposer un autre point relais ou une livraison à domicile ; et bien sûr vous demander la communication de vos données personnelles, identité, coordonnées postales et téléphoniques, …et bancaires pour des frais de relivraison.

Ces demandes de renseignements sont autant de signaux d’alerte. L’adresse d’origine du mail doit vous éclairer (présenter la souris sur l’adresse de l’expéditeur pour la faire apparaître), tout comme l’URL du site, pour autant que leur lecture soit attentive car une seule lettre ou un seul signe peut faire la différence.

De manière générale, les fenêtres insérées dans une page mail dans lesquelles vous devez renseigner le numéro à 16 chiffres, la date d’échéance et le code au verso de votre carte bancaire n’offrent aucune sécurité. Consultez votre compte personnel en vous rendant indépendamment sur le site officiel ou sur l’application dédiée, voire le service client pour déjouer les pièges.

Liens à suivre pour plus d’informations :
Arnaque colis
Information fraude

Source : Que Choisir

Retour au sommaire
 
9. Des animaux de compagnie en EHPAD

Depuis le 3 mars 2025, tous les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) doivent pouvoir accueillir les animaux de compagnie des résidents, moyennant le respect d’un certain nombre de conditions et de règles.

Entrer en EHPAD sans son animal de compagnie constituait une épreuve douloureuse supplémentaire pour certains résidents.

Désormais cela est possible dans tous les établissements, pour autant que les règles de l’établissement soient respectées et que le résident soit en capacité de s’occuper lui-même de son animal (alimentation, soins, etc.) ; un certificat vétérinaire devra attester de l’absence de comportement dangereux de l’animal (chiens de catégories 1 & 2 interdits), de ses vaccinations et de son identification. Le personnel aura accès à tout matériel permettant de le contenir si nécessaire (laisse, cage, harnais).

Les bienfaits de la présence d’animaux domestiques, a fortiori des siens, ont été démontrés sur la santé tant physique que mentale des résidents.

Source : Que Choisir

Retour au sommaire
 
10. 1 € mini pour partir en musique

Suite à l’accord signé en février dernier entre les fédérations de pompes funèbres et la Sacem (Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique), la diffusion des musiques lors d’obsèques imposera le versement d’une redevance à la Sacem. Elle viendra s’ajouter au coût facturé par les pompes funèbres. Elle sera due pour toute musique issue de son catalogue.

Si certains pouvaient considérer un enterrement comme un évènement intime et privé, il s’inscrit de fait dans une prestation commerciale où la sonorisation (y compris les droits d’auteur) est facturée au même titre que les autres prestations au sein d’un contrat cadre datant de 2006. Le nouveau texte ne fait que redéfinir le montant et les conditions de perception.

Dans la pratique, si les sommes perçues par la Sacem représentent plusieurs centaines de milliers d’euros par an, le surcoût engendré par les familles sera de l’ordre de 1 à 5 € par cérémonie selon le mode de redistribution choisi par l’entreprise funéraire (une facturation de l’accompagnement musical à la famille demandeuse ou son lissage sur l’ensemble des clients indépendamment de leur demande).

A noter que la musique classique tout comme celles libres de droit ou ne figurant pas dans le catalogue Sacem en sont exclues. Par ailleurs, dans le cas où la sonorisation est assurée par la famille, elle s’inscrit alors dans un cadre privé et n’est alors plus soumise à redevance (sauf si l’option "lissage" à 1 € alors applicable à tous est retenue par l’entreprise).

Au-delà du faible montant en jeu, c’est surtout le principe qui indigne certaines familles.

Source : 60 Millions de consommateurs

Retour au sommaire
 
11. Gaz et électricité : les comparateurs privés dans le collimateur

Le médiateur national de l’énergie, autorité publique indépendante chargée de régler les litiges dans le secteur de l’énergie. demande le renforcement de l’encadrement des comparateurs en ligne d’offres d’énergie qui fournissent trop rarement une information « loyale, claire et transparente ».

En effet, avec le développement de la concurrence dans la fourniture d’électricité et de gaz, les comparateurs en ligne se sont multipliés. Ils émanent le plus souvent de sociétés privées qui tirent leurs revenus des partenariats qu’elles ont noués avec les fournisseurs d’énergie, et sont ainsi plutôt des sortes de "courtiers" rémunérés par les fournisseurs pour l’apport de clients.

Rappelons l’intérêt du comparateur d’énergie gratuit de l’UFC-Que Choisir.

Source : Que Choisir

Retour au sommaire
 
12. Pneumocoque : le vaccin conseillé aux seniors

Initialement réservé aux bébés, le vaccin contre les infections à pneumocoques a été, en 2023, proposé aux adultes qui risquent de contracter une forme sévère. La Haute Autorité de santé (HAS) souhaite élargir cette vaccination à tous les seniors à partir de 65 ans.

En effet, la bactérie streptococcus pneumoniae (ou pneumocoque) est la 1ère cause de décès par infection respiratoire chez les seniors, et la principale cause des surinfections bactériennes de la grippe.

La vaccination permettrait aussi de limiter la propagation de la bactérie dans les EHPAD, où l’incidence est 10 fois plus élevée qu’à domicile.

Pour ce vaccin une seule injection suffit. La HAS recommande le vaccin Prevenar 20, actif sur 20 souches de la bactérie.

Source : Que Choisir Santé

Retour au sommaire
 
13. Emballages des piles boutons au lithium : des risques pour la sécurité des enfants

De plus en plus présentes dans le quotidien des consommateurs, les piles boutons présentent des risques importants pour les enfants en cas d’ingestion.

Ces piles sont de petite taille et de forme ronde ; elles alimentent notamment des appareils auditifs, des calculatrices, des clefs, des jouets, des montres et des télécommandes... Or, en cas d’ingestion, une pile bouton peut s’enclaver dans l’œsophage et provoquer des complications (graves brûlures) voire le décès.

Un emballage et une information conformes sur ces risques ont un rôle essentiel pour prévenir les accidents :
➢ affichage de l’avertissement « Tenir hors de portée des enfants » et pictogramme correspondant ;
➢ tests de résistance des emballages en vue d’éviter leur ouverture par des enfants. Ces tests suivent un protocole prévoyant différentes manipulations de torsion, de courbure et de déchirement.

A l’issue de ces contrôles :
➢ 14 des 21 produits testés ont été jugés dangereux en raison d’un emballage insuffisamment résistant ;
➢ des défauts sur les marquages et informations de sécurité ont été constatés.

Si les grandes marques semblent disposer d’une maîtrise globale plutôt bonne de la sécurité des emballages de piles boutons, l’enquête a montré que des produits dangereux sont commercialisés sur le marché français, en particulier sur des places de marché en ligne.

Source : DGCCRF

Retour au sommaire

Liens vers des sites du Mouvement UFC-Que Choisir et des organismes partenaires

Facebook

UFC-Que Choisir (site national)
UFC-Que Choisir Lyon Métropole & Rhône

UFC-Que Choisir : chaîne Youtube de vidéos sur la consommation

Réseau anti-arnaques (Partenaire de l'UFC-Que Choisir)

Merci de nous apporter votre aide :
appels à témoignage de l'UFC-Que Choisir

Retour au sommaire

UFC-Que Choisir Lyon Métropole & Rhône

Siège : 1 rue Sébastien Gryphe, 69007 Lyon
Antenne de Villefranche : 338 rue des Remparts, 69400 Villefranche-sur-Saône
Président et responsable de publication : Michel Fregonara
Responsable de la communicaion : Patrick Gribe
Recherche et documentation : Michel Boutard
Responsable de rédaction et conception technique : Michel Fregonara
Ont participé à cette édition : Michel Boutard, Pierre Doré, Michel Fregonara et Patrick Gribe.