Lettre mensuelle d'information des adhérents - N° 147 - Janvier 2023

L’UFC-Que Choisir Lyon Métropole & Rhône
vous présente ses meilleurs vœux pour l’année 2023

SOMMAIRE
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Liens vers des sites du Mouvement UFC-Que Choisir et des organismes partenaires
 
1. Pénurie de médicaments - Au tour de l’amoxicilline

La situation est sérieuse. Un antibiotique d’usage courant, l’amoxicilline « fait l’objet de fortes tensions d’approvisionnement », rapporte l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) dans une communication officielle. Sont essentiellement concernées les formes buvables destinées aux enfants, sous les noms commerciaux Augmentin et Clamoxyl. Mais les versions adultes sont également touchées.

Résultat, des consignes ont été passées aux médecins et aux pharmaciens pour limiter la prescription et la délivrance aux situations où les antibiotiques sont absolument nécessaires, c’est-à-dire dans les infections d’origine bactérienne (notamment angine avec test positif réalisé en cabinet ou en pharmacie, otite purulente, pneumonie, etc.).

Les autres affections respiratoires courantes, présumées d’origine virale, n’ont pas besoin d’amoxicilline, ni d’aucun autre antibiotique d’ailleurs, pour guérir. Angine classique, bronchiolite, bronchite, Covid, grippe, otite inflammatoire, rhinopharyngite se traitent autrement, la plupart du temps avec du repos et du paracétamol pour la fièvre, avec là aussi des restrictions.

La toux peut persister longtemps sans que cela soit un signe quelconque de gravité. En cas de dégradation, en particulier pour la bronchiolite, la grippe ou le Covid, une hospitalisation peut être nécessaire.

Source : Que Choisir

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2. Ping-pong - Retour gagnant contre les démences

Agilité, amusement, concentration, coordination motrice et socialisation : le ping-pong présente de nombreux atouts pour la santé.

Des études japonaises ont montré les effets intéressants de cette activité physique et ludique en prévention des troubles cognitifs et des pertes de mémoire. Ces bénéfices peuvent s’expliquer par l’entraînement cérébral et par la combinaison de l’exercice physique (réduisant des facteurs de risques cardio-vasculaires qui sont aussi des facteurs de risques de démence).

D’ailleurs, une étude a comparé les effets de plusieurs activités physiques sur le moral et les fonctions cérébrales de femmes seniors : si la danse s’est révélée plus efficace contre la dépression, le tennis de table a été le plus efficace pour les fonctions cérébrales. Cette étude a été menée en Corée, où la pratique de ce sport est très répandue, aussi les résultats ne seraient peut-être pas aussi marqués en France. Mais elle souligne bien l’avantage pour les aînés de cette activité qui se pratique facilement à un niveau amateur, sans qu’il ne soit besoin d’un apprentissage technique, ni de grandes capacités physiques, ni de matériel coûteux. Le risque de blessures est assez faible. Il est donc praticable par des personnes atteintes de handicap.

Source : Que Choisir

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3. Sécurité sanitaire des produits - Cernés par les nanoparticules

Soupçonnées d’effets toxiques spécifiques, les nanoparticules, ces particules de taille infinitésimale, sont souvent présentes incognito dans divers produits de consommation courante.

Que Choisir l’avait montré lors d’un test portant sur des denrées alimentaires, des cosmétiques et des médicaments. Presque 5 ans plus tard, les résultats publiés par Avicenn (Association de veille et d’information civique sur les enjeux des nanosciences et des nanotechnologies) ne montrent aucune amélioration, bien au contraire. Sur 23 produits testés, et bien qu’aucun ne mentionne la présence de nanoparticules, 20 en contiennent (1).

Le choix des produits a reposé sur la présence possible de celles dont les dangers sont les plus documentés, à savoir l’argent, la silice, le dioxyde de titane et les oxydes de fer. En plus des secteurs que Que Choisir avait visé, le test inclut des jouets, produits d’hygiène et de santé, textiles. Tous les produits cosmétiques et alimentaires ressortent avec un résultat positif.

Le rayon "hygiène et santé" interpelle aussi. La brosse à dents pour enfants, le masque chirurgical et le masque FFP2 testés présentent des nanoparticules d’argent, soupçonné de neurotoxicité, ou de silice, potentiellement génotoxique. Se retrouvent-elles dans la bouche des petits ? Dans les voies respiratoires des utilisateurs qui veulent se protéger des infections ? Si oui, quels sont leurs effets ?

Comme le souligne Avicenn, ces résultats montrent à quel point l’étiquetage des nanoparticules est éminemment défaillant. Obligatoire pour les produits cosmétiques et alimentaires, il n’est présent sur aucun des 12 testés. Ce qui, souligne l’association, « montre l'impérieuse nécessité de renforcer les rappels de la loi, les contrôles et les sanctions par les autorités. La présence de nanoparticules dans d’autres produits souligne aussi la nécessité d'étendre l'obligation d'étiquetage aux catégories de produits qui ne sont malheureusement toujours pas concernées à ce jour. »

(1) Liste des produits disponible ici (fichier pdf)

Source : Que Choisir

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4. Moules en silicone – Gare aux migrations dans les aliments

Ils sont pratiques et ont conquis de nombreux foyers. Mais sont-ils sans risque ?

Sur les 29 moules testés par Que Choisir, seuls 6 le sont, quand 9 sont à éviter (1) (dont 2 grandes marques, De Buyer et Tupperware). Quant aux 14 restants, ils contiennent des substances qui migrent en faible quantité, mais dont la toxicité est inconnue ou préoccupante : l’UFC-Que Choisir les déconseille par mesure de précaution.

(1) Sont classés dans la catégorie "à éviter", les produits dont la migration est importante ou porte sur des substances classées cancérogènes, mutagènes ou toxiques pour la reproduction, dont certaines sont appelées à être retirées du marché tant elles sont néfastes pour la santé et l’environnement.

Source : Que Choisir

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5. Rhume – Peut-il tomber sur les bronches ?

En temps normal, l’épithélium respiratoire, ce tissu tapissant les cavités nasales et le pharynx, sait très bien se défendre contre les bactéries : l’infection est bloquée en partie haute et ne descend donc pas sur les bronches. Mais si les défenses immunitaires sont affaiblies, soit parce que les personnes sont fragilisées sur le plan respiratoire (fumeurs, patients atteints de bronchopneumopathie chronique obstructive…), soit parce que l’épithélium est déjà endommagé par un virus grippal, une surinfection respiratoire peut se développer. La complication la plus fréquente reste la pneumopathie bactérienne, qui touche les bronches et les poumons.

Alors oui, on peut dire et on dit communément que le rhume est "tombé sur les bronches".

Face à une complication bactérienne, les antibiotiques sont recommandés. Pour éviter d’en arriver là, le lavage du nez et les gargarismes à l’eau salée font merveille, à condition de s’y prendre dès les premiers symptômes du rhume. On peut faire sa recette soi-même en mélangeant 3 cuillères à soupe de gros sel dans 1,5 l d’eau.

Source : Que Choisir

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6. Site internet d’aide aux démarches administratives : attention aux arnaques !

Acte d’état civil, immatriculation d’un véhicule, obtention de la vignette Crit’Air… Autant de démarches administratives en ligne gratuites, que de nombreux sites commerciaux proposent, mais en version payante !

Pour attirer le client, ces sites utilisent des ficelles bien rodées :
➢ se retrouver en tête des résultats de recherche : très simple, il suffit d’acheter du référencement aux moteurs de recherche…
➢ faire croire au consommateur qu’il est sur un site officiel : utilisation de logos gouvernementaux et de termes administratifs, parfois mise en avant d’agréments bidon.

En 2020, la DGCCRF (1) a mené des contrôles, ciblant 2 types de pratiques :
➢ celles consistant à proposer la réalisation de démarches administratives à titre onéreux en laissant croire au consommateur qu’il se trouve sur un site officiel ;
➢ celles présentant la souscription à une prestation unique mais qui se révèle être un engagement sur plusieurs mois sous forme d’abonnement.

Sur les 41 établissements contrôlés, 25 ne respectaient pas la réglementation et ont écopé d’un avertissement, d’une injonction ou d’un procès-verbal aboutissant dans certains cas à des amendes salées. Dans la grande majorité des cas, ces établissements se livraient à des pratiques commerciales trompeuses ; plus rarement il leur a été reproché le défaut d’informations précontractuelles ou l’utilisation de numéros surtaxés.

Face à la vitalité de ces sites, la DGCCRF promet de rester vigilante et de poursuivre les contrôles.

(1) Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes

Source : DGCCRF

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7. Alimentation : l’œuf, injustement victime de son cholestérol ?

L’œuf ne mérite pas la mauvaise réputation qui lui colle à la peau depuis 40 ans : celle d’être trop riche en cholestérol, donc mauvais pour nos artères. Car depuis quelques années, des études scientifiques contribuent à réhabiliter cet aliment, qui possède de nombreux atouts nutritionnels.

Certes, l’œuf contient du cholestérol : le jaune en apporte 398 mg pour 100 g (soit deux œufs). Mais il s’agit de "bon gras". Ce dont il faut se méfier, c’est de l’excès du taux de cholestérol sanguin (hypercholestérolémie), qui accroît les risques cardiovasculaires. Or, l’apport de cholestérol alimentaire semble peu influer sur le taux de cholestérol sanguin, ce dernier étant essentiellement synthétisé dans notre foie. Manger des œufs en quantité raisonnable augmenterait donc peu, voire pas, le risque d’accident vasculaire cérébral (AVC) chez des personnes en bonne santé.

De plus le cholestérol nous est fort utile, puisqu’il est impliqué dans la synthèse de la vitamine D, de plusieurs hormones, ainsi que des cellules de notre corps. Les personnes en bonne santé, ne souffrant pas de diabète ou de maladies cardiovasculaires, peuvent manger 2 œufs par jour. Parmi les qualités de cet aliment :
➢ il a un impact environnemental moindre que les viandes ;
➢ il contient des caroténoïdes (antioxydants et précurseurs de la vitamine A) ;
➢ il est bon marché ;
➢ il est pauvre en glucides, donc peu calorique ;
➢ il est riche en minéraux et oligoéléments : 2 œufs couvrent 20 à 30 % des besoins quotidiens en fer, iode, sélénium et phosphore ;
➢ il est riche en protéines. Un seul œuf apporte presque 25 % de nos besoins quotidiens en protéines animales. Il contient en particulier les huit acides aminés dits essentiels (que nous ne savons pas fabriquer) indispensables à la synthèse des protéines ;
➢ le blanc est riche en vitamines B, en particulier la B12 et la choline ; le jaune contient des vitamines du groupe B, ainsi que des groupes A, D, E et K ;
➢ si la poule est nourrie avec des aliments riches en acides gras oméga 3, par exemple des graines de lin, son œuf l’est également.

Source : Que Choisir

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8. Médicaments à éviter : la liste noire 2023 de la revue médicale Prescrire

Inefficaces ou dangereux, et souvent les deux : tels sont les médicaments que la revue indépendante Prescrire épingle chaque année dans sa liste des médicaments à éviter.

Pour évaluer l’intérêt d’un médicament, il faut peser d’un côté ses bénéfices (son efficacité, sa facilité d’utilisation, etc.) et de l’autre ses risques (effets indésirables, risques d’interactions, etc.) et mettre en regard les uns par rapport aux autres. Quand les bénéfices sont faibles voire nuls, les risques l’emportent souvent. La balance est également défavorable quand les risques sont très importants, même s’il existe un bénéfice.

Consulter la liste complète des médicaments à écarter de la revue Prescrire.

Source : Que Choisir

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9. QuelProduit : l’appli qui permet aux acheteurs de produits cosmétiques et ménagers de préserver l’environnement

L’application mobile gratuite QuelProduit, financée grâce aux dons des consommateurs au fonds de dotation de l’UFC-Que Choisir, informe sur la composition, la qualité environnementale et la qualité nutritionnelle des produits alimentaires, cosmétiques et ménagers. Elle permet de choisir les articles les plus sains pour la santé, en scannant les produits sur son smartphone avant de les acheter.

L’UFC-Que Choisir vient de doter cette application d’une note environnementale qui permet d’évaluer pas moins de 70 000 références de produits cosmétiques et ménagers. L’interdiction des composés les plus nocifs par les autorités européennes se faisant cruellement attendre, l’association recommande aux consommateurs de privilégier les articles qui sont les mieux notés par son application.

L’UFC-Que Choisir a établi une liste de 239 composés utilisés dans les cosmétiques et détergents présentant un danger pour les organismes vivants dans les cours d’eau et la mer tels que les algues, les coraux ou les poissons. L’application applique à 66 000 cosmétiques et 4 000 produits ménagers une note environnementale sur une échelle de quatre niveaux donnant une information sur la dangerosité et le nombre de substances nocives.

L’application est disponible sur App Store ou Google Play.

Source : Que Choisir

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10. Ça dépend quand ça dépasse

Un récent décret devrait permettre de réduire le gaspillage en essayant d’être plus clair sur les dates affichées sur les produits alimentaires par des mentions différenciant plus explicitement les notions de date limite de consommation (DLC) et de date de durabilité minimale (DDM).

Selon le produit, c’est la DLC ou la DDM qui est indiquée sur l’emballage ; comment les interpréter afin de savoir s’il est consommable ou pas ?

La DLC : mentionnée par « A consommer jusqu’au » avec une date associée.
Au-delà de cette date, la denrée ne doit plus être ni vendue ni consommée pour une raison réputée de risque pour la santé.
On notera que ce sont les fabricants eux-mêmes qui déterminent cette date et qu’elle est parfois surestimée par principe de précaution (ou autre ?), d’autant qu’elles diffèrent parfois d’un lieu de vente à un autre… Ainsi le cas emblématique des yaourts qui sont souvent encore mangeables plus d’un mois après.

La DDM : mentionnée par « A consommer de préférence avant le … » avec une date associée.
Au-delà de cette date, c’est seulement son apparence ou ses qualités nutritives, de goût, d’odeur, de texture, etc qui peuvent être affectées sans pour autant présenter un risque pour la santé, à condition que l’emballage ne soit pas endommagé.
Le décret apporte ainsi des précisions afin de lever toute ambiguïté en permettant de compléter la DDM par plusieurs mentions :
« Pour une dégustation optimale » avant l’indication de la DDM ;
« Ce produit peut être consommé après cette date » ou équivalent, après la DDM.

Dans ce cas, ce sont votre nez et vos yeux qui peuvent statuer sur le devenir de la denrée. Ainsi l’application "Too Good To Go" a lancé un pictogramme « Observez, sentez, goûtez » pour inciter les consommateurs à ne pas jeter sans vérifier si le produit reste acceptable. On peut déjà le voir sur certains produits de marques telles que la Vache qui rit, les céréales Kellogg's et Chocapic, la purée Mousseline, les yaourts Les2Vaches, l'huile Lesieur Isio4…

Source : Que Choisir

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11. Lever le pied pour réduire les gaz

L’abaissement de la vitesse sur autoroute à 110 km/h fait partie des trois propositions de la Convention citoyenne en 2021 pour le climat écartées par le Président Macron, malgré certains de ses atouts à la fois écologiques et économiques.

L’expérience passée du projet de passage à 80 km/h sur les routes secondaires a laissé de mauvais souvenirs au gouvernement. Mais l’idée continue à faire son chemin, la réduction des émissions à effet de serre et des dépenses de carburant étant mises en avant par les promoteurs, notamment écologistes, de cette mesure.

Si Madame Borne a jugé que ce n’était « pas la bonne voie » car les automobilistes peuvent avoir « des contraintes de temps », on pourrait craindre qu’un tel argument soit repris et interprété par ailleurs dangereusement pour justifier toute vitesse excessive. D’autant que le parcours moyen d’un automobiliste est de 59 km sur autoroute, ce qui aboutit à une différence de seulement 5 min. pour un tel trajet.

Concernant les gaz à effet de serre, les déplacements sur autoroute représentent, en France, plus de 20 % des émissions de CO2 du secteur des transports soit 6 % des émissions totales.

Un véhicule léger émet, à vitesse constante de 110 km/h, 16 % de gaz à effet de serre de moins que s’il roulait à 130 km/h (étude Cerema, établissement public spécialisé) ; l’économie de carburant (et de son coût) serait du même ordre.

Une approche sur le plan de la sécurité routière paraît plus mitigée en craignant une désaffection de l’autoroute au bénéfice des autres réseaux gratuits mais plus accidentogènes (la vitesse n’est que la 4e cause d’accidents mortels sur autoroutes). Malgré cela, le ministère de la Transition écologique et solidaire indique, sur la base d’un rapport d’étude d’accidentalité de 2018, que l’impact d’un abaissement de la vitesse resterait positif. A chacun aussi d’apprécier individuellement ses choix et de les assumer.

Source : Que Choisir

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12. Tonton pourquoi tu tousses ? Beaucoup de manquements dans le démarchage téléphonique

Comme l’a montré une enquête de la DGCCRF (Répression des fraudes) menée en 2020, 51 % des 791 entreprises contrôlées, en grande partie suite à signalements, ne respectaient pas la législation en matière de démarchage téléphonique.

Ces établissements couvrent entre autres les centres d’appel, sociétés du secteur de rénovation énergétique, des assurances et l’immobilier.

Les manquements sont divers :
➢ appels de consommateurs inscrits sur Bloctel (sociétés soit ne s’étant pas abonnées à Bloctel soit n’ayant pas expurgé de leurs listes les numéros inscrits) ;
➢ non-respect de l’interdiction du démarchage dans le secteur de la rénovation énergétique (économies d’énergie, production d’énergies renouvelables) en vigueur depuis la loi de juillet 2020 ;
➢ défauts d’information sur la possibilité de s’opposer au démarchage lors d’un recueil de numéros de téléphone via des formulaires ou à l’occasion de salons, et dans les documents contractuels (dont les conditions générales de vente).

Pour contourner la loi, certains usent de stratagèmes en appelant pour d’autres motifs (ou au travers d’une étude d’éligibilité, d’un diagnostic gratuit) afin d’obtenir un rendez-vous pour faire dans un second temps des propositions de services dans le domaine de la rénovation énergétique par exemple.

185 avertissements ont ainsi été donnés, 175 mesures de police administratives prises, 49 procès-verbaux administratifs dressés comme 3 autres procès-verbaux pénaux.

Reste à espérer que les nouvelles dispositions qui entreront en vigueur le 1er mars 2023 amélioreront au moins la situation et diminueront l’exaspération des consommateurs par la limitation des démarchages aux plages horaires 10h-13h et 14h-20h du lundi au vendredi et une interdiction en week-ends et jours fériés ; ce qui ne justifiera en aucune manière un relâchement des contrôles et de sanctions dissuasives, bien au contraire. Le démarchage au titre du compte personnel de formation (CPF) sera également bientôt interdit.

Sources : DGCCRF & Que Choisir

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Responsable de rédaction : Chantal Roleau
Conception technique : Michel Fregonara
Ont participé à cette édition : Michel Boutard, Pierre Doré, Michel Fregonara et Chantal Roleau.