Lettre mensuelle d’information des adhérents - N° 110 - Septembre 2019

SOMMAIRE
1. Vie privée/données personnelles : action de groupe contre Google
2. Démarchages abusifs de fournisseurs d’énergie : la DGCCRF passe à l’attaque
3. Arnaque sur LeBonCoin : de faux acheteurs détournent le nouvel outil de paiement en ligne
4. Sur-marges sur les fruits et légumes bio : la grande distribution matraque les consommateurs !
5. Paracétamol : des messages pour prévenir le surdosage
6. Pollution de l’air extérieur : alerte de l’Anses sur les particules ultrafines
7. Numéros de services clients : ne payez pas pour rien
8. Attention aux faux appels, courriels ou SMS usurpant l’identité des impôts
9. Fraude au compteur kilométrique : quels recours ?
10. Santé : la vérité sur les bienfaits du curcuma
Liens vers des sites du Mouvement UFC-Que Choisir et des organismes partenaires
 
1. Vie privée/données personnelles : action de groupe contre Google

Dans le prolongement de l’amende de la CNIL contre Google (janvier 2019) mais aussi de sa condamnation en première instance, à l’initiative de l’UFC-Que Choisir, pour clauses abusives ou illicites en matière de données personnelles (février 2019), l’association a lancé en début d’été une action de groupe contre Google, devant le Tribunal de grande instance de Paris, pour violation du Règlement général de protection des données (RGPD). L’objectif de cette action est de mettre fin à l’exploitation insidieuse des données personnelles de ses utilisateurs, particulièrement ceux détenant un équipement Android avec un compte Google, et de les indemniser à hauteur de 1 000 €.

En effet, malgré ces décisions, Google continue de noyer les consommateurs dans des règles de confidentialités interminables (plus de 1 000 lignes, 5 700 mots, 57 renvois et 100 liens vers d’autres contenus) et à maintenir un véritable parcours du combattant pour agir sur la géolocalisation (pas moins de 6 actions sont nécessaires pour accéder aux informations sur les différentes méthodes utilisées).

En matière de géolocalisation et de ciblage publicitaire, Google doit obtenir un consentement exprès de ses utilisateurs. Cela implique une action claire de leur part : cocher une case. Google a choisi de contourner cette règle fondamentale en considérant l’accord de l’utilisateur comme toujours acquis. Pour l’UFC-Que Choisir, c’est une violation manifeste du RGPD qui lui permet de collecter massivement des données personnelles sans que les utilisateurs puissent en avoir conscience : même immobile, un smartphone va transmettre sa géolocalisation près de 340 fois par jour !

L’association rappelle qu’à ce stade de l’action de groupe, il n’est pas nécessaire de se faire connaître et invite les personnes intéressées à consulter sur son site en ligne https://www.quechoisir.org/ la foire aux questions relative à cette nouvelle action pour répondre aux principales questions qu’elles pourraient se poser.

Source : Que Choisir
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2. Démarchages abusifs de fournisseurs d’énergie : la DGCCRF passe à l’attaque

La DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes) a frappé fort. Par communiqué, elle indique que « deux entreprises commercialisant des contrats de gaz et d’électricité et 11 sociétés sous-traitantes travaillant pour leur compte ont été visées par des perquisitions, dans le cadre d’une enquête pour des pratiques de démarchage abusif présumé. Ces perquisitions d’une ampleur nationale ont mobilisé 73 agents de la DGCCRF, qui sont intervenus simultanément pour des opérations de visite et saisie sur 16 sites distincts ».

Même si le nom des entreprises n’a pas été divulgué, nul doute qu’il s’agit d’Engie et Eni, depuis longtemps dans le viseur du Médiateur national de l’énergie et dans celui de l’UFC-Que Choisir. Les perquisitions ont pour but de déterminer s’il s’agit de « pratiques isolées » de la part des démarcheurs ou d’une « politique délibérée » de la part des 2 fournisseurs d’énergie.

Rappelons que ces pratiques commerciales trompeuses peuvent faire l’objet de sanctions pénales. Quant à l’amende, elle peut s’élever jusqu’à 10 % du chiffre d’affaires des entreprises.

Les 2 fournisseurs des offres "Énergie moins chère ensemble" proposées par l’UFC-Que Choisir sont actuellement Happ’e, une marque du groupe Engie, pour l’électricité, et Eni pour le gaz. Paradoxal, reprochent certains. Non, car en plus d’être les moins-disants sur le plan tarifaire, ces fournisseurs se sont engagés à appliquer le contrat spécifique imposé par l’association. De plus, en cas de réclamation, l’UFC-Que Choisir accompagne les souscripteurs durant la première année du contrat.

Source : Que Choisir
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3. Arnaque sur LeBonCoin : de faux acheteurs détournent le nouvel outil de paiement en ligne

À l’automne 2018, le site de petites annonces a ouvert un service de paiement en ligne. Les malfaiteurs se sont rués sur cette fonctionnalité et ont inventé une nouvelle technique de phishing.

Un vendeur reçoit un SMS provenant d’un numéro de portable non masqué. L’expéditeur lui annonce qu’un paiement a été effectué, référence de l’offre à l’appui, et ajoute un lien renvoyant vers un faux site LeBonCoin. Ce site affiche l’offre du vendeur pour le mettre en confiance. Seule condition pour que le versement soit validé : il doit renseigner ses coordonnées bancaires. Une fois cette étape accomplie, le piège se referme. L’escroc qui se cache derrière ces messages récupère les informations. Non seulement le vendeur n’a réalisé aucune vente, mais, bien plus grave, il risque de se faire piller son compte bancaire !

De plus ces malfaiteurs pratiquent le spoofing : ils usurpent le numéro de téléphone de particuliers pour se faire passer ensuite pour des acheteurs honnêtes auprès d’autres personnes ayant déposé une annonce.

Que faire en cas d’arnaque sur LeBonCoin ?
➢ Avertissez les gestionnaires du site.
➢ Portez plainte au commissariat. LeBonCoin est en contact avec la police, qui lui transmet une demande de réquisition lorsqu’un consommateur porte plainte.
➢ Alertez votre banque et faites immédiatement opposition sur votre carte bancaire lorsque vous découvrez le piège. Après cela, surveillez votre compte pendant quelques jours.
➢ Si vous avez le moindre doute concernant l’expéditeur d’un message, ne donnez pas suite avant de vous être renseigné, notamment sur le site vers lequel vous êtes dirigé. La seule adresse web valable pour ces transactions est www.leboncoin.fr.

Pour plus d’informations sur le nouvel outil de paiement LeBonCoin, et les conseils de Que Choisir pour éviter les pièges, suivez ce lien

Source : Que Choisir
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4. Sur-marges sur les fruits et légumes bio : la grande distribution matraque toujours les consommateurs !

Les consommateurs français se tournent de plus en plus vers les produits biologiques. Deux ans après la publication d’une étude économique pointant les sur-marges de la grande distribution sur les fruits et légumes bio, l’UFC-Que Choisir dénonce aujourd’hui la persistance du niveau exorbitant des marges brutes sur le bio : en moyenne, 75 % plus élevées qu’en conventionnel.

Pire, cette moyenne masque de très fortes disparités selon les produits, et ce sont sur les plus consommés que la grande distribution se gave le plus. Si le niveau de marge en bio est équivalent au conventionnel pour l’oignon, l’ail ou la carotte, sur les 3 fruits et légumes les plus consommés – la pomme de terre, la tomate et la pomme – les marges brutes sont respectivement 83 %, 109 % et 149 % supérieures au conventionnel. La palme des sur-marges revient au poireau, où la grande distribution marge 2,5 fois plus sur le bio que sur le conventionnel (+ 165 %).

Cette pratique est particulièrement coûteuse pour le budget des consommateurs : si la grande distribution appliquait au bio la même marge qu’en conventionnel, le budget annuel d’une consommation de fruits et légumes bio pour une famille diminuerait de 18 %.

L’UFC-Que Choisir, souhaitant encourager la consommation du bio pour ses bénéfices sanitaires et environnementaux :
➢ exhorte l’Observatoire de la formation des prix et marges à une transparence totale et salutaire en publiant les niveaux de marges par enseigne et par rayon ("naming and shaming"), dans le cadre de ses prochains travaux sur les produits de l’agriculture biologique ;
➢ recommande aux consommateurs de faire jouer la concurrence entre les modes de distribution, afin de trouver les prix du bio les plus compétitifs. En effet un récent relevé de prix montre que les magasins spécialisés, bien que globalement plus chers que les grandes surfaces lorsque l’on prend en compte l’ensemble des produits bio, sont moins chers de 19 % pour les fruits et légumes bio.

Source : Que Choisir
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5. Paracétamol : des messages pour prévenir le surdosage

Les boîtes de paracétamol (Doliprane, Efferalgan, Dafalgan et autres) devront afficher au plus tard dans 7 mois maintenant, un avertissement sur le danger en cas de surdosage.

"Surdosage = danger" : le message d’alerte est nouveau, mais pas le problème.

De longue date, on sait qu’une dose excessive de paracétamol provoque des lésions du foie qui peuvent avoir des conséquences très graves (greffe), voire très très graves (décès). Mais ce danger est particulièrement ignoré alors que ce médicament contre les douleurs et la fièvre est l’un des plus consommés, sur prescription comme en automédication.

L’alerte s’affichera sur la face avant des boîtes et se déclinera de deux manières :

➢ sur les spécialités contenant uniquement du paracétamol

Exemples de marques concernées : Doliprane, Efferalgan, Dafalgan, marques génériques, etc. Sur ces spécialités, les règles de bon usage seront rappelées au verso de la boîte.





➢ sur les boîtes contenant du paracétamol associé à une autre substance

Exemples de marques concernées : médicaments dits « antirhume » comme Actifed Rhume ou DoliRhume Jour/Nuit, antidouleurs tels que Lamaline, Izalgy, Ixprim, etc.





Repères pour les adultes
➢ 3 g par 24 heures, c’est la dose usuelle maximale en automédication et généralement suffisante. C’est aussi la dose maximale pour les personnes à risque comme celles pesant moins de 50 kg, atteintes d’insuffisance hépatique légère à modérée ou d’insuffisance rénale sévère, ou souffrant d’alcoolisme chronique.
➢ 4 g par 24 heures, c’est la dose maximale à ne prendre que sur avis médical.
➢ 500 mg par prise, c’est la dose à prendre pour commencer (1 g au maximum).
➢ 6 heures, c’est l’intervalle à respecter entre 2 prises (4 heures au minimum).

Source : Que Choisir
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6. Pollution de l’air extérieur : alerte de l’Anses sur les particules ultrafines

Comme si la pollution de l’air des zones urbaines par les particules fines ne suffisait pas, l’Agence de sécurité sanitaire (Anses) lance une nouvelle alerte sur les particules ultrafines.

On connaît déjà les effets néfastes sur la santé des particules fines, les PM 2,5 et les PM 10, dues actuellement de manière conséquente aux véhicules diesel en zone urbaine dense. Il est établi que les PM 2,5 sont les plus nocives, leur taille infime leur permettant en effet de pénétrer jusqu’aux alvéoles pulmonaires. Elles aggravent l’asthme et les problèmes respiratoires et elles sont impliquées dans les affections cardiovasculaires. Elles sont de plus responsables de décès prématurés (29 400 en 2015 selon une étude de 2018 de l’Agence européenne de l’environnement pour les PM 2.5 de toutes origines anthropiques (*)).

Mais voilà, on découvre encore pire. Dans un avis rendu mi-juillet, l’Anses alerte sur d’autres particules non réglementées à ce jour. Il s’agit du carbone suie, du carbone organique et, surtout, des particules ultrafines, celles qui sont de l’ordre du nanogramme, soit une taille infinitésimale qui leur permet de passer dans le sang. Il existe « des niveaux de preuves forts », indique l’Agence, de leurs effets sur la santé, tant en ce qui concerne les affections respiratoires et cardiovasculaires que les décès anticipés.

Pour l’Anses, il n’y a pas à tergiverser. Les évolutions du parc automobile sont insuffisantes pour améliorer durablement la qualité de l’air ambiant dans les agglomérations. Outre les évolutions technologiques du parc de véhicules et la promotion des véhicules électriques en zone urbaine dense pour diminuer les émissions de particules, ses experts en appellent à la réduction du trafic routier.

(*)https://www.eea.europa.eu/publications/air-quality-in-europe-2018

Source : Que Choisir
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7. Numéros de services clients : ne payez pas pour rien

Toutes les enseignes possèdent forcément un numéro non surtaxé que leurs clients peuvent utiliser. Si les grandes enseignes respectent globalement la législation, nombre d’entre elles (*) préfèrent mettre en avant sur leur site leurs numéros payants afin de générer des revenus supplémentaires.

A savoir :
➢ les fournisseurs d’accès à internet ont l’interdiction depuis 2008 de surtaxer l’accès téléphonique à leurs plateformes d’aides à distance ;
➢ un message gratuit d’information tarifaire doit être diffusé pendant minimum 10 secondes, indiquant le coût total de la communication (appel + service) ;
➢ l’éditeur peut fixer le prix de l’appel. Mais le tarif des numéros surtaxés en 08 ne peut dépasser 3 € par appel ou 0,80 €/minute. Dans tous les cas, mais à fortiori en cas de tarification à la minute, la partie "service" ne peut excéder 24 € (auxquels il faut ajouter le prix de la communication).
➢ pour les services facturés plus de 20 centimes TTC la minute, l’appel ne devra pas dépasser les 30 minutes.

Remarques :
➢ En 2021, les appels vers les services publics (facturés actuellement 0,15€/mn) seront gratuits ;
➢ La liste des principaux numéros gratuits pour ne plus payer inutilement est consultable sur le site Que Choisir

(*) exemples Cdiscount, Rueducommerce

Source : Que Choisir
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8. Attention aux faux appels, courriels ou SMS usurpant l’identité des impôts

Des courriels, SMS et appels téléphoniques usurpant l’identité de l’administration et de ses agents, sont constatés par les services fiscaux, notamment au moment de la déclaration de revenus, la réception des avis d’impôt sur le revenu, de taxe habitation, de taxe foncière, etc.

Pour éviter ces arnaques, la direction générale des Finances publiques rappelle 3 règles de sécurité que doivent observer les contribuables :
➢ ne jamais communiquer son numéro de carte bancaire (en échange d’une promesse de remboursement d’impôts par exemple) ;
➢ ne pas donner suite aux appels téléphoniques censés émanés du fisc et dont l’objectif est de récupérer des données personnelles. La DGFiP rappelle qu’elle est totalement étrangère à ce type de démarche ;
➢ utiliser des mots de passe sécurisés pour sa boîte de messagerie.

Afin de limiter les piratages, le fisc a prévu dès la fin de l’été la mise en place d’une question secrète dans son processus d’échanges en ligne avec les contribuables.

Source : Que Choisir
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9. Fraude au compteur kilométrique : quels recours ?

Selon une étude du Parlement européen, la fraude au compteur concernerait entre 5 % à 12 % des ventes de véhicules d’occasion au sein de chaque État-membre. Des particuliers comme des professionnels utilisent des dispositifs peu onéreux et faciles d’accès pour réduire le kilométrage, comme en témoignent les procédures judiciaires passées et en cours.

Que faire si vous êtes victime de ce type de fraude ?
➢ Avant toute chose, il est conseillé de ne réaliser aucune réparation sur le véhicule.
➢ Vérifiez si vous bénéficiez d’une protection juridique ; dans ce cas c’est votre assureur qui se chargera de toutes les démarches, et prendra en charge les honoraires de l’expert puis de l’avocat si nécessaire.
➢ Sollicitez un expert qui convoquera le vendeur à une expertise contradictoire du véhicule, puis cherchera à négocier une solution amiable avec le vendeur (annulation de la vente ou réduction du prix).
➢ Si nécessaire engagez une procédure civile, en saisissant le tribunal d’instance (si le litige est inférieur à 10 000 €) ou de grande instance (pour un litige d’un montant supérieur) au motif de défaut de délivrance conforme.
➢ Engagez une procédure pénale : le vendeur était informé de la réduction du kilométrage et l’a sciemment passé sous silence ? Vous pouvez porter plainte pour délit de tromperie dans un commissariat ou une gendarmerie. Si vous vous êtes procuré le véhicule auprès d’un professionnel, saisissez aussi la Répression des fraudes de son département.

Si l’entreprise qui vous a cédé le véhicule est en liquidation judiciaire, il y a malheureusement peu de chances de retrouver votre argent. Vous pouvez néanmoins adresser un courrier au liquidateur nommé par le tribunal pour déclarer votre créance.

Les bons réflexes avant l’achat : vérifiez si le kilométrage affiché est cohérent avec l’âge du véhicule et les mentions du carnet d’entretien, évaluez l’usure générale en inspectant l’état des pédales et du pommeau de vitesse. Vous pouvez aussi faire appel à un expert automobile pour une centaine d’euros.

Enfin, même si le contrat de vente n’est pas obligatoire entre particuliers, établissez-en un. Formalisez par écrit tout ce qui est dit oralement (documents remis, réparations importantes, problèmes connus…) et faites notifier la mention "kilométrage garanti" sur le document. Cela vous sera utile en cas de contentieux.

Source : 60 Millions de consommateurs
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10. Santé : la vérité sur les bienfaits du curcuma

Dans la presse santé et sur internet, le curcuma est présenté comme une épice aux multiples bienfaits : antioxydant, protecteur des articulations, ami du foie, aide à la digestion, anti-inflammatoire, anticancéreux, anti-Alzheimer, etc.

In vitro, la curcumine, une des principales substances actives du curcuma, réagit en effet très facilement dans les tubes de laboratoire. Mais qu’en est-il in vivo, dans le corps humain ?

Pour la maladie d’Alzheimer, aucune efficacité prouvée. Idem pour les douleurs articulaires, les données n’étant pas suffisamment probantes pour en recommander l’usage. Quant aux supposées propriétés anticancéreuses de la curcumine, les expérimentations scientifiques sont soit trop préliminaires, soit carrément entachées de fraudes. Même les propriétés digestives du curcuma ne sont pas prouvées.

Ingrédient du curry, le curcuma en poudre offre couleur et saveur aux plats. Si vous utilisez cette épice, sachez qu’il vous faudrait en utiliser des doses très importantes pour vous rapprocher des doses de curcumine testées en laboratoire. Sans compter que la curcumine ainsi ingérée est peu disponible, mal absorbée et vite éliminée.

Pour le goût oui, pour la santé, aucun intérêt !

Source : Que Choisir
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Ont participé à cette édition : René Barraud, Michel Boutard, Michel Fregonara et Chantal Roleau.